Infidélité au travail (2)
Datte: 25/08/2021,
Catégories:
Erotique,
... pas habitué à cette situation. — Je vais te dévergonder, dis-je avec un sourire espiègle. — Je vois que ce ne sont pas tes premières heures de vol. La jolie tournure de sa remarque me fit sourire. — C’est vrai, mais ça fait un moment que je n’ai pas eu d’amant. La première fois, j’ai beaucoup culpabilisé même si c’était bien. Son regard perçant me dévisageant, je continuais : — On n’est pas là pour se prendre la tête. Si un jour, tu me dis que tu souhaites arrêter notre relation parce que c’est trop compliqué, je comprendrais. Chacun reprendra son chemin comme avant, on ne se fera pas la gueule pour autant. Le regard de Fabrice s’assombrit. Visiblement déçu par mes paroles franches, il dit : — J’avais dis qu’on s’enverrait des messages seulement pendant les heures de travail. J’ai trop peur que ma femme tombe dessus. J’ai un enfant, je n’ai pas l’âge de tout perdre pour des conneries. — Arrêtes, tu n’es pas vieux, répondis-je d’une voix sensuellement douce, avant de l’embrasser langoureusement. Il était assez mûr pour moi. J’avais lu qu’à partir de quarante ans, les hommes avaient une libido en ébullition, ainsi que de l’expérience sexuelle. Ils étaient aussi plus tendres et sensuels. Tandis que sa langue caressait sensuellement la mienne, sa main droite empoigna ma fesse gauche. Un gémissement excité franchit mes lèvres. ...
... — Tu as des enfants ? Demanda-t-il. — Oui, trois. — Alors, tu comprends ce que je veux dire. — Oui. Fabrice m’embrassa encore, glissant sa main sous mon t-shirt. — Oh tu as la main fraîche ! M’exclamai-je, surprise, en sentant ma peau frissonner. — Humm tu as de beaux seins, ils me plaisent beaucoup. — Ah oui ? Demandai-je sensuellement. « Comment peut-il deviner cela juste en les massant ? » Fabrice les caressait exactement comme j’aimais me le faire. Une douce chaleur enflammait mes sens. — Tu m’excites, murmurai-je. — Je le suis aussi. C’est vraiment dommage d’avoir raté ce rendez-vous, j’en avais vraiment très envie. — Moi aussi. Fabrice m’embrassa langoureusement me serrant contre lui. Le regard incendiaire, il me demanda l’heure. Il ne nous restait plus que deux minutes à passer ensemble. — Si je ne t’avais pas donné mon numéro, est-ce que tu m’aurais donné le tien ? Demandai-je par curiosité. — Non, je n’en aurais pas été capable. Mes yeux s’écarquillèrent de surprise. — J’ai été vraiment très surpris que tu le fasses. Je souris, amusée et fière de moi. — Tu serais resté à me regarder comme ça, sans faire le premier pas ? — Oui. — Ça aurait été vraiment dommage. Un grand sourire étirant ses lèvres fines, il me redemanda l’heure. — Attends, un dernier baiser pour la journée, dis-je en l’embrassant une dernière fois.