Mama Tebah - Flor de Cuba
Datte: 28/08/2021,
Catégories:
fh,
fagée,
grosseins,
groscul,
pénétratio,
portrait,
couple,
... vers lui pour le regarder manger. Il lui demande : — Tu ne manges pas ?— Non, tout est pour toi, mon cœur, je sais que c’est ton plat préféré, elle lui répond. Il se met à manger et elle lui donne à son tour les nouvelles du quartier. Mais Carlos l’écoute à peine, il goûte soigneusement chaque bouchée de son colombo. Il répond juste parfois, la bouche pleine, par des « Mmmh, mmmh » ou des « ouais, ouais » à demi-étouffés. Il mange sans précipitation, méticuleux dans son plaisir, il laisse longtemps les saveurs fondre en bouche. Le bonheur se lit dans ses yeux… et pour Mama c’est la plus belle des récompenses. Il reprend encore une deuxième assiette pleine puis, après l’avoir finie complètement, après l’avoir minutieusement saucée d’un bout de pain jusqu’à ne laisser aucune trace, il laisse échapper un grand soupir de contentement. — Alors, tu vois que les femmes de cinquante ans savent bien s’occuper d’un homme… lui dit Mama. Sur ce, elle se lève et niche le visage de Carlos entre ses deux gros seins. — Ah oui, dit-il … toi aussi tu mérites une gâterie. Il glisse ses mains sous son chemisier pour palper ses énormes nénés. Sa main ne réussit pas à saisir tout un sein, tant ils sont volumineux. Il malaxe sous ses doigts les mamelons déjà pointés. Elle tressaille de plaisir. Enfin, les mains de son homme sur sa peau. Il déboutonne son corsage pour lui lécher et lui mordiller les seins. Elle ferme les yeux en le pressant contre elle. Puis il libère une main qui soulève sa robe et ...
... la remonte le long de la cuisse, lentement, doucement, vers la source. Sa main caresse la source déjà inondée de désir. Elle aussi maintenant, n’y tenant plus, elle lui palpe l’entrejambe à travers la toile rude de son pantalon. « Ah, par Yemayà, la maternelle et par Oshùn, la sensuelle et par tous les orixas, le sexe de Carlos, quelle merveille » pense Mama Tebah. Si doux au toucher, quatorze centimètres, le double en érection. Elle glisse sa main dans sa braguette pour sentir enfler démesurément son membre viril. Elle lui dit : — Carlos, toi qui es si méticuleux et ordonné, j’ai un fourreau parfait pour ranger ce bel outil. Puis elle se déshabille tout à fait et, impatiente, lui demande de se lever pour lui défaire sa chemise et son pantalon. Le gros sexe protubérant de Carlos ressort d’une manière incongrue sur son corps ligneux et noueux. Elle s’agenouille devant lui et gobe sa bite. Elle le suce goulûment et lui, pendant ce temps, reste calme, impassible, sans se départir de son éternel sourire béat. Elle l’astique pour lui donner toute la fermeté voulue mais, quand à la radio elle reconnaît les premiers accords de la chanson de Tito Nieves« Matame de amor », Mama trouve que les préambules ont déjà bien assez durés. Elle s’installe sur le lit assise sur les genoux et lui dit : — Viens me prendre en levrette maintenant, mon Carlos d’amour. Il obtempère et, debout devant le lit, il la pénètre doucement, profondément, sans s’arrêter, la distendant en souplesse. Puis, quand ...