Mama Tebah - Flor de Cuba
Datte: 28/08/2021,
Catégories:
fh,
fagée,
grosseins,
groscul,
pénétratio,
portrait,
couple,
... il est au plus profond d’elle, il applique ses deux mains rugueuses sur ses larges fesses et commence tranquillement son mouvement d’avant en arrière. Elle pose sa tête de trois-quarts dans le creux de son bras gauche étalé sur le lit. Carlos la pénètre au rythme de la salsa. Une mesure forte de trois notes et puis une mesure faible de deux notes. Le cul volumineux et volubile de Mama Tebah roule sur le même rythme pour faire danser le sexe en elle. Dans le plaisir, elle a des gémissements de petite fille. Elle qui parle toujours d’une voix rauque abîmée par le tabac, elle a dans l’amour de petits pépiements. Elle ferme les yeux et elle le supplie : — Continue, tu me fais du bien. Elle se retient de jouir mais sent son désir enfler, il faut tenir une salsa de plus. Quand elle rouvre à demi les paupières, Carlos voit ses yeux révulsés. Elle voyage légère sur l’onde du plaisir. Elle miaule encore faiblement quand le plaisir la surprend, le barrage cède et elle jouit en cataractes… Son corps énorme tremble sous la puissance de l’orgasme. Alors Carlos, en amant appliqué, jouit en elle. Il grogne et par saccades, l’inonde de giclées de son sperme abondant. Leurs fluides se mêlent dans les relents d’épices et de salsa, dans l’air saturé et humide d’un soir à La Havane. Pour se ressaisir, il lui donne une tape sur les fesses en disant : — Mama Tebah, flor de Cuba. Il vient s’allonger près d’elle sur le lit et il lui prend la main. Elle ...
... s’appuie toute légère contre son épaule frêle. — Gracias mi amor, lui dit-elle. Elle le regarde comme une petite chose à côté d’elle, le mâle surpuissant est redevenu une petite chose fragile. Il sourit et puis s’endort avec le même masque de bienheureux. Elle l’écoute ronfler de contentement, comme ça, niché contre elle. Il fait nuit, la radio continue son programme de salsa. Un peu plus tard, elle se lève, nue et encore couverte de sueur. Elle va prendre un cigare dans la boîte, Carlos dort toujours. Elle allume son cigare et va s’installer dehors, sur la marche qui descend dans son petit jardin. L’air du soir apporte enfin un peu de fraîcheur. Elle fume son cigare dans la nuit, elle entend près du petit muret le bruissement de l’air dans le manguier. Il n’y a rien que la lueur rouge de son cigare puis la fumée légère. Quel délice de fumer après l’amour, c’est une nuit parfaite, une nuit de plénitude. Elle a un rire rauque avec le cigare dans la bouche. Elle est assise nue sur la dalle, sous la clarté lunaire, ses deux gros mollets miroitent comme les deux colonnes d’un temple. L’intérieur de ses cuisses est encore humide, luisant de sperme. Elle regarde les étoiles dans le ciel immense. Elle pense à toutes ces petites graines qui s’agitent et virevoltent dans son vaste utérus. Elle est une matrice, elle est le ciel. Elle tire une grande bouffée de son cigare, avale la fumée puis se racle la gorge et crache loin dans le jardin.