Angoisses et consolation
Datte: 01/07/2017,
Catégories:
f,
fh,
fagée,
inconnu,
grosseins,
bizarre,
bain,
amour,
cérébral,
revede,
Masturbation
nopéné,
initiatiq,
... Puis je suis Julia dans sa chambre. Elle est déjà recouchée, dos contre moi, lorsque je passe la porte. J’hésite un instant, plus très sûr d’avoir bien compris ce qu’elle attendait de moi. Puis je me glisse derrière elle dans le lit, en entourant sa taille de mes bras. Immédiatement, mon corps réagit, et mon membre se dresse impérieusement contre ses fesses nues. — C’est si bon de se sentir à nouveau désirée en tant que femme, de faire bander un mec de la sorte. Lâche-toi, donne-moi ton lait si tu en as envie, laissons le reste de l’autre côté de la porte pour un instant, veux-tu ? Lentement, je fais aller et venir mon chibre contre le large fessier de Julia, qui se serre de toutes ses forces contre moi. Elle s’est emparée de mes mains et les embrasse fougueusement. Déjà mes hanches s’avancent vers elle de manière désordonnée. Il suffit d’une nouvelle pression de son bassin contre ma tige pour que je me mette à déverser ma semence dans son sillon fessier. Elle gémit de bonheur pendant que je me vide sur elle, heureuse de m’avoir fait craquer si rapidement. — Avec l’odeur de ton corps excité en plus, c’est jour de fête au fond de mon ventre, je te jure ! Merci, merci, merci… Dès que j’arrive à reprendre mes esprits, j’aimerais pouvoir lui offrir le même genre de douceur. Mais elle retient ma main au moment où je la glisse le long de son ventre. — J’en ai très envie, tu sais, mais je ne crois pas que je sois déjà prête. Et puis je sens Marine et petit Simon derrière la ...
... porte. Je ne pourrai pas être vraiment à toi. Ils comptent sur nous, non ?— Tu veux que je retourne dans ma chambre ?— Surtout pas, je veux que tu t’endormes contre moi. L’idée de pouvoir me réveiller entre tes bras me fait déjà dégouliner de plaisir. Petit Simon nous laisse encore une belle heure de câlins dans un demi-sommeil. Puis Julia reprend son rôle de mère, et offre ses seins à sa bouche goulue dès les premières lueurs du jour. La mère et l’enfant ont la mine reposée lorsque je les rejoins pour le petit-déjeuner. Julia arbore même un sourire radieux, qui laisse présager d’une énergie nouvelle pour aborder la suite de son existence. — J’ai déjà plein de projets pour mon asinerie. Tu viendras voir ce que j’en ai fait à ton retour de pèlerinage ? Je promets. Je sais que je tiendrai cette promesse. Peut-être même plus, tant j’ai découvert de belles choses chez cette femme courageuse. D’ailleurs je me sens d’une certaine manière lié à Simon. Ce n’est pas anodin de servir d’oreiller à un nourrisson, et de l’endormir au rythme des battements de son cœur. Ça doit sûrement laisser des traces. D’autant que nous sommes maintenant presque frères de lait ! C’est en tout cas ce qui occupe mon esprit au moment de prendre congé de Julia. Tant mieux, sinon je ne pourrais pas éviter de ressentir la petite brûlure qui maltraite la pointe de mon cœur et ne me lâchera pas tout au long de la journée. À suivre (1) Alors qu’il était en prière devant une statue de la Vierge dans l’église de ...