1. Ma vallée (1)


    Datte: 22/11/2017, Catégories: Divers,

    ... soirée, on est allé écluser quelque cave, y boire le vin nouveau, la piquette comme on dit par chez nous. Véronika semblait ne plus être en état de conduire. Aussi, passant devant ma maison, avec l’aide de mon patron, on est allé la couché dans la chambre d’ami, avec encore la permission de mes parents. Je ne rentrais guère plus tard, ne voulant pas boire plus que de raison. Je jetais un œil dans la chambre de Véronika avant de me glisser dans mon lit, elle ronflait comme un tracteur. Dans la maison, je pouvais entre ma mère préparer le déjeuner. Je me levais pour aller l’aider quand je vis Véronika près de ma mère, coupant le pain dans une de mes chemises, la plus longue et ma préférée en plus. En me voyant, elle s’approcha de moi, baisa mon front en me remerciant pour la chambre. Après ma douche, j’invitais ma prof de travaux manuel à prendre la sienne. C’est alors que je vis son corps de déesse. De dos, certes, mais c’était plus que je n’en avais jamais vu. Autant dire que j’en avais mal entre les jambes. Si elle portait une toute petite culotte rouge, à l’époque, pour moi, c’était comme de découvrir le Saint Graal. La belle était très coquette. Elle me rejoint dans sa robe de soirée, me proposant un tour dans son bolide à travers les petites routes de la vallée. Je n’ai pas dit non, sautant dans le siège baquet passager. Le moteur hurlait, chaque fois qu’elle changeait de vitesse, sa jambe droite se dévoilait à moi. En fait, du tout le parcours, je n’ai rien vu d’autre ...
    ... que cette jambe nue, lisse. Devant chez elle, elle fit un demi-tour au frein à main, me remettant les idées en place. J’avais une furieuse envie d’elle et pourtant, 9 ans nous séparaient. Dans son petit appartement, elle se changea sans aucun complexe et devant moi. Ses seins, son ventre plat, elle me plaisait au-delà de tout. Elle était la première femme que je voyais entièrement nue et je bandais comme un âne en rut. Je crois qu’elle vit mon désir à peine caché par le tissu tendu de mon pantalon et elle en rajouta une couche en ne s’habillant pas tout de suite. Sa toison noire, mon regard ne pouvait pas la quitter. Je devais être rouge comme une tomate en la contemplant comme un con, un puceau qui plus est. Ensuite, près de moi, elle posa furtivement ses lèvres sur les miennes en me demandant, question idiote, si elle me plaisait. Je crois avoir dit un oui sec et sonnant dans ce petit salon. Je n’avais qu’une envie, la toucher, la caresser, l’embrasser, l’aimer quoi. J’avais de la peine à tenir en place et je n’osais la toucher, me souvenant du vol plané de cet ouvrier sur ce chantier. Quand elle me proposa une limonade bien fraiche, j’ai vite accepté. Mon verre tremblait dans ma main, elle dut me la tenir pour me remplir mon verre, j’avais ses seins sous mes yeux. Là, je n’y tenais plus et je caressais ce sein avec douceur. Elle me fixa longuement, se mordillant sa lèvre inférieur. Puis, elle prit mon verre, le posa sur la table basse. Prenant mes mains, elle le déposa sur ...
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