Ma vallée (1)
Datte: 22/11/2017,
Catégories:
Divers,
... bonne apprentie, toujours dans les cinq premières de sa classe, au cours. Jour après jour, on commença à former une bonne paire. Durant la période d’été, les cours en vacances, je l’entraînais sur un chantier d’altitude, un nouveau chalet d’alpage à remettre en état. Elle se montre alors sans aucun complexe. Torse nu, elle n’hésite pas à travailler comme moi. Dormant sur place, un soir d’orage, prise de peur, elle se colla à moi. Dans mes bras, elle devint femme durant cette nuit remplie de violent coups de tonner. Dès l’aube, en slip, on continuait notre labeur, en une journée, on en fit plus que j’en avais fait avec Véronika. En fin de journée, près d’une source, on se lavait, nu comme à notre naissance. De caresse en caresse, on fit l’Amour sur l’herbe fraiche. Le lendemain, elle me fit une belle boulette, je la fessais sans violence excessive, juste pour lui faire comprendre son erreur. J’alternais mes claques sur son popotin de douce caresse, prenant mon tend pour la faire jouir. Puis, cela devint un jeu, elle n’hésitait plus à claquer mon cul d’une bonne claque en passant près de moi. En plein milieu du chantier, on ne mettait même plus de slip, à poil, profitant du soleil de montagne pour brunir notre peau intégralement. Le dernier jour, en arrivant devant la menuiserie, je la posais assise sur mon épaule, le bourru venait de prendre la fuite. Dès lors, chaque soir, je lui donnais des leçons de théorie et de pratique en aidant mon père à fabriquer des ruches pour ...
... les apiculteurs de toute la région. Dès la reprise des cours, ses notes grimpèrent en flèche, mouchant ses copains de cours. Elle finit sa seconde année à la troisième place et j’en étais fier. Dans ma chambre, au premier de ma maison, je lui fis une place, la plus belle. Mineure, aucun villageois n’osa nous critiquer, même par derrière. Même ses parents devinrent mes meilleurs amis. Je l’épousais le jour de ses dix-huit printemps et devant tout le village. Et ce huit mois après son arrivée. De chantier en chantier, elle devint comme Véronika, aimant mes jeux pervers, vicieux, mais oh combien jouissifs. Nos premières vraies vacances, je pris le train pour la toute première fois. Ben oui, je n’étais jamais sorti de ma vallée. On est allé se prélasser au bord de la mer, dans le sud de la France. Deux semaines de pur bonheur, d’orgasme démentiels, de douleurs divines. À notre retour, nouvelle et bonne surprise. Mon patron désire prendre sa retraire petit à petit. Mois après moi, je pris un peu plus la place de mon patron. ¨ En décembre, lors du repas de fin d’année, on lui réserva un adieu à la hauteur de sa vie de labeur et de sueur en invitant tous les clients que nous avions. On lui fit un autre cadeau, Lysiane et moi, en lui demandant s’il ne voulait pas être le parrain de notre premier enfant. Il fut ému en acceptant, sa main sur le petit ventre déjà rond de Lysiane. La fête sur belle et je fus très ému quand il me remit symboliquement les clefs de la menuiserie. Fin.