1. Ma vallée (1)


    Datte: 22/11/2017, Catégories: Divers,

    ... sa poitrine. Je bandais, j’avais mal à en crever et je massais la plus belle poitrine du monde. Ma bouche rejoint rapidement ses seins, mes mains. Je léchais ses mamelons, les tétais, les mordillais aussi. Ses mains emprisonnèrent ma tête, l’appuyant fortement sur son cœur que j’entendais battre à tout rompre, comme le mien. Elle me couchait sur son petit canapé, sa bouche sur le mienne. Mes mains quittèrent ses seins pour ses fesses bien fermes. Je parvins même à en glisser une entre ses cuisses, juste sur son sexe devenu humide. Mon pantalon ne tarda pas à suivre mon pull. Je n’avais plus que mes chaussettes sur moi quand elle se pénétra de mon sexe tendu. En quelques secondes, l’affaire fut faite, j’étais trop excité pour me retenir et je jouissais comme un puceau, bien trop vite. Cela ne sembla pas la décevoir. Sa main massait mon pénis, sa bouche m’embrassait et mes mains exploraient son corps. Sa voix se fit douce, tendre pour ne pas dire amoureuse. Elle sut calmer mon impétuosité. Cela fit que je parvins à me retenir assez longtemps pour sentir son corps vibrer de toutes parts quand elle jouit. Je jouissais juste après elle, je n’étais plus un puceau et le criais dans sa bouche qui m’embrassait. De la journée, on ne se quitta pas. Dans son lit, elle me fit bander encore, la prendre encore, l’aimer et même la baiser sauvagement. C’est en fin d’après-midi qu’elle me ramenait, conduisant avec prudence sur la route qui blanchissait sous les flocons qui tombaient en ...
    ... abondance. Ma main sur sa cuisse, avant le village, on s’embrassa longuement encore. Elle soupa avec moi et mes parents. On se raconta une route, un moment de folie, comme une épreuve de rallye que nous n’avions jamais faite. Quand elle partit, on ne s’embrassa pas, tout au plus une bise appuyée sur nos joues, une douce caresse. Voilà ma toute première fois. Maintenant, pour la revoir, il me fallait attendre que les routes soient ouvertes. La neige, par chez nous, quand elle tombe, ce n’est pas juste pour blanchir. Alors, n’y tenant plus, à ski de fond, j’allais la voir peu après le nouvel an. Je la trouvais en train de couper du bois, passant d’un merlin, à une hache comme on passe d’une fourchette à une cuillère. Pour avoir de la force, elle en avait, surtout quand elle souleva mes soixante kilos. Ce fut une après-midi de rêve entre ses bras, sous ce duvet, dans sa petite chambre. Avec elle, je devenais plus endurant. Parfois, elle n’hésitait pas à claquer mon cul avec force quand je m’y prenais comme un manche. Au moment de la quitter, je cherchais une chaussette à quatre pattes sur le sol, regardant sous le lit, les meubles. Véronika en profita pour copieusement me fesser et je bandais de cette fessée à la fois douce et perverse. Elle m’obligea à me branler sur ses pieds nus. Je jouis et léchais ses pieds avec dévotion, amour. Je pris ses orteils que je suçais. Sans le savoir encore, elle venait de faire de moi son dévoué, son petit animal de compagnie, son soumis, mais ça, je ...
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