1. Ma vallée (1)


    Datte: 22/11/2017, Catégories: Divers,

    ... ne le sus que bien plus tard, ce que cela voulait dire. Chaque jour, pendant ces vacances forcées, j’allais le rejoindre, je lui coupais son bois, l’entassais et elle me gâtait de son corps en me dressant davantage. Une après-midi, elle m’attachait dans sa chambre, aux pieds de son lit, à genou, les bras en croix. Le pire c’est que je prenais gout à ça. Elle me branla, me suça jusqu’à douloureusement n’éjaculer que du sang avant qu’elle ne me laisse lécher son minou que je dévorais jusqu’à lécher son anus amoureusement. Si elle me pervertissait, je n’étais pas en reste pour lui plaire. Je me pervertissais avec elle, me poussant à faire des choses qu’elle ne m’avait pas demandé, ni même obligé à lui faire. Un autre après-midi, je goutais à son cul, le dilatant lentement. Puis, tout aussi lentement, je le pénétrais de mon pénis. Ma douce Maîtresse d’amour en retira un plaisir immense en m’avouant que personne n’était passé par son cul à ce jour, sauf moi. Je me permis alors une sorte de petite vengeance en la fessant doucement, au début, puis, de plus en plus fort. Elle hurla encore de plaisir alors que jouissais dans ce cul pour la seconde fois. En me retirant, elle me fit une gâterie de rêve. Enfin, je lui donnais mon cul à fesser. Nos jeux prenaient une tournure toujours plus perverse. Elle m’enfila même une belle bougie dans mon cul, venant d’elle, je jouissais une dernière fois. Dès que la nuit commençait à poindre, on se séparait et c’était dur parfois. Puis, le ...
    ... boulot reprit. Un camion parvint même à nous livrer du bois. D’apprenti menuisier, je passais à apprenti ébéniste et commençais mon premier meuble et toujours sous l’étroite surveillance de Véronika. Personne ne savait rien de notre liaison. Véronika m’avait imposé le silence absolu sous peine de recevoir une sévère correction et l’ayant vue en colère, je ne préférais pas la contredire. Et puis, si je parlais, je la perdais et donc, je passais pour un con fini en perdant tout. Ce fut aussi la fin de ma première année d’apprentissage et les examens qui approchaient. Là, encore une fois, j’ai pu compter sur l’aide très précieuse de Véronika. Le jour de l’examen, dans le chef-lieu, elle m’avait accompagné sur ordre de notre patron, dit ; le bon, c’est son surnom. J’y mettais tout mon cœur pour ne décevoir personne, surtout pas Véronika qui m’avait promis un week-end de rêve. Je terminais sur la seconde marche du podium en pratique et premier en théorie, là où je me sentais le plus faible. Fier de moi, en sortant de cette salle de cours, je sautais au cou de ma merveilleuse professeure. On est allé boire un verre, le temps pour ma belle professeure de téléphoner à notre patron les résultats de mes examens. En remontant au village, Véronika s’arrêta en dehors de la route, prit une couverture avant de m’entraîner sous un rocher. Nous avons longuement fait l’amour. Punaise qu’il est divin de sentir celle qu’on aime jouir sous soi. En plus, j’allais avoir 19 ans en début de la semaine ...
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