Panique au Trip Hot Club
Datte: 23/11/2017,
Catégories:
fh,
boitenuit,
Oral
Partouze / Groupe
policier,
... m’avait tiré de la flotte plutôt que de me laisser périr noyé dans ma bagnole au fond du canal ! — Pourquoi ? fis-je entre mes lèvres gonflées et fendues.— C’est quand j’ai compris que t’étais un flic, Ludwig. Quand j’ai compris que tu t’étais servi de moi pour fréquenter le Trip Hot club. Comment savait-elle ça ? Je fus tenté de nier, mais je n’en avais pas l’énergie. Elle n’attendit pas que je parle, de toute façon. — Je ne t’aurais jamais soupçonné ; mais cette nuit-là, après les incidents au club, je n’arrivais pas à dormir. Je me suis levée plusieurs fois. J’étais jalouse, à cause de cette blonde, Camille… Je voyais qu’elle te plaisait, qu’elle te faisait de l’effet. Bizarrement, que tu baises avec d’autres filles, ça ne me faisait rien, mais celle-là, elle avait quelque chose. J’avais vu ton visage pendant qu’elle te suçait ; et ça m’avait fichu en rogne. J’aurais voulu que tu sois aussi jaloux que moi, mais tu t’en foutais, même quand je m’envoyais en l’air devant tes yeux. Tu n’en avais que pour Camille. « C’est bien des idées de femme, ça ! » songeai-je. Mais je m’abstins de le dire. — Et puis, pendant que tu dormais, j’ai vu ton GSM et je l’ai pris. Je ne sais pas pourquoi. Je pensais y trouver un mot de cette fichue blonde, ou son numéro dans ton répertoire, mais je suis tombée sur la liste de tes messages envoyés… « Merde ! Oh ! Le con ! » m’insultai-je mentalement. Non seulement j’avais oublié d’éteindre l’engin, mais j’avais négligé d’effacer le dernier SMS. ...
... Celui qui donnait le signal. Il était laconique, mais suffisant pour éveiller de justes soupçons. C’était une soirée que j’avais complètement foirée, au Trip Hot Club ! Camille m’avait fait perdre la tête en s’occupant de ma queue ! — En plus d’être jalouse, j’ai réalisé que tu t’étais servi de moi, poursuivit Ghislaine. J’ai vu rouge. D’autant que le type que les flics avaient buté au club était un de mes potes.— Tu fais partie de la bande ! croassai-je. Piquée au vif, Ghislaine se redressa. Elle posa les avant-bras de part et d’autre de l’oreiller et pencha sur moi. Ses yeux brillaient, sa voix vibrait. — Non ! s’insurgea-t-elle. Je suis pas dans leurs affaires. Mais j’étais tellement en pétard que je t’ai dénoncé auprès des copains. Je voulais qu’ils te mettent une bonne dérouillée. C’est quand ils t’ont chargé inanimé dans ta bagnole que j’ai réalisé qu’ils projetaient de te faire faire l’ultime voyage. C’était trop. Je ne voulais pas ça. Je les ai suivis à distance et dès qu’ils ont eu poussé la voiture dans le canal et qu’ils se sont tirés avec la leur, j’ai fait tout ce que je pouvais pour aller te rechercher. J’ai dû plonger trois fois et quand je t’ai remonté sur la berge, j’ai bien cru que c’était trop tard. Ghislaine se tut. Je sentis de nouveau son souffle sur ma joue, quand elle posa sa tête près de la mienne sur l’oreiller. Sa main se glissa sous le drap, sur mon corps nu et endolori. — Tu as froid, chuchota-t-elle. Pour toute réponse, j’eus une nouvelle quinte de ...