Louise
Datte: 26/11/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
voisins,
poilu(e)s,
bain,
campagne,
facial,
Oral
pénétratio,
uro,
... vraie goulue… Pendant quelques minutes je lui prends la tête et je lui baise la bouche. Aucune protestation. Bien au contraire, des gémissements de satisfaction à chaque coup de bite. Son plaisir n’est pas feint. Ensuite je me retire, je ne voudrais pas jouir à nouveau dans sa bouche. J’ai trop envie de la baiser. Mais elle me retient, elle est comme folle, elle cherche à m’agripper. Elle lèche mon gland, elle lèche mes couilles, elle me lape, elle m’aspire. Elle est complètement débridée. — Baisez-moi, Éric, baisez-moi profondément avec votre gros sexe. J’ai très envie de vous sentir en moi. Défoncez-moi. Remplissez-moi. Je ne me fais pas prier. Ma trique rentre en elle comme dans du beurre et je me mets aussitôt à la ramoner profondément, avec vigueur. Elle répond à mes à-coups par d’autres coups de reins. Elle en veut toujours plus, cette cochonne. Par la suite, je lui fais changer de position, penchée sur le côté contre un rocher puis carrément à quatre pattes par derrière. J’accélère les mouvements en la traitant de tous les noms. Je l’entends jouir encore une fois, puis une autre. Désormais je la pilonne sans retenue en lui promettant de lui remplir la chatte de foutre, ce que je fais bientôt en hurlant à la mort. Et je me vide enfin, sans retenue, dans la cramouille de cette vicieuse. Nous nous sommes finalement rhabillés, de vilains nuages venaient d’obscurcir l’horizon. L’orage menaçait. Nous avons ramassé prestement nos affaires et avons pris le chemin du retour. ...
... Ses vêtements étaient loin d’être secs. Du coup, c’est elle qui a enfilé mon caleçon, mon jean étant vraiment trop grand pour elle. Je lui ai aussi laissé mon t-shirt tandis que moi je suis rentré en jean et torse nu. Arrivés près du village, nous avons coupé à travers bois pour être sûr de ne rencontrer personne et nous sommes rentrés chez elle par le jardin. Et là, nouvelle partie de jambes en l’air. La voir ainsi à moitié nue au beau milieu du living-room dans mes vêtements détrempés…bon sang…! Je l’ai prise tendrement dans mes bras et ai commencé à la caresser partout en arrachant fébrilement ses frusques. Ça s’est terminé sur son lit et cette fois-ci nous avons fait l’amour plus calmement, avec beaucoup de tendresse aussi. Et nous avons terminé en prenant une douche ensemble. Les jours qui suivirent furent à proprement parler idylliques. À la moindre occasion je filais chez Louise et nous faisions l’amour sans aucune retenue, comme deux jeunes amoureux avides de sensations nouvelles. Je recevais toujours des cartes postales d’Espagne, mais ce courrier me semblait désormais fade et insipide. Tout mon amour et toutes mes attentions se tournaient désormais vers Louise, et uniquement vers elle. En ce qui concerne mes examens, je les ai encore ratés en septembre. D’ailleurs, cette année-là, septembre fut vraiment un très mauvais mois : d’abord nos adieux avec Louise qui furent particulièrement pénibles et pathétiques, ensuite les examens ratés, enfin cet accident de voiture ...