Mes aventures sur « Paris - Dakar »
Datte: 11/12/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
grossexe,
plage,
bain,
voyage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
journal,
roadmovie,
... tandis que leur chef ouvrait la marche. Il y avait du danger disait-il, les mines, les brigands, les rebelles, mais fort heureusement nous ne vîmes rien de tout cela et j’aurais sans doute pu croire qu’il galéjait, n’eût été les carcasses de véhicules et les cratères. Il y avait aussi ce parfum de sincérité qu’exhalaient ses récits. Il conta qu’une fois, le dromadaire qu’il montait sauta sur une mine. La bête s’écrasa le ventre au sol, blatérant à mort, les membres écartelés dans tous les sens. Elle agonisa des heures avant qu’il ne se décide à l’achever. Lui s’en tira indemne. Parfois des ossements blanchis, des crânes d’animaux, d’humains aussi, à moitié avalés par le sable, témoignaient de quelques autres drames dont notre hôte nous narrait pareillement les horreurs. Tayeb Ould Sneiba était son nom, plus communément appelé Si Tayeb, le Si marquant la note de respect, imparfaitement traduite en français par le titre Monsieur. Ce Monsieur ne nous accepta pas d’emblée. Il nous fallut vaincre ses réserves avant qu’il consente à nous prendre dans sa troupe. Je suis convaincue qu’il ne céda qu’à cause de moi, parce que j’étais une femme. Le Monsieur était sensible au charme féminin et je n’hésitai pas à user du mien, quitte à en rajouter une couche pour le séduire. La suite nous donna maintes opportunités de mieux nous connaître. Pour autant, l’homme se montra toujours d’une exquise correction. Jamais il ne tenta d’abuser même quand nos jeux flirtaient sur des musiques pas du ...
... tout innocentes. Comment imaginer la promiscuité qui prévaut dans les campements du désert à la belle étoile ? Il y a tant d’espace. Ben non ! On dort les uns à côté des autres sinon les uns sur les autres autour du feu mourant, dans un cercle dont la surface est sans doute inférieure à celle de votre cuisine. Pas un pet, pas un rot, pas un soupir, et à plus forte raison une étreinte, rien n’échappe à la sagacité des uns et des autres. Séba en perdait tous ses moyens. Pas une fois il ne me toucha durant les onze jours que dura notre périple de Dakhla à Nouadhibou. Pourtant, ce n’était pas faute de l’asticoter, mais rien n’y fit, son machin restait désespérément flasque et mon compagnon finissait par me repousser. Mes tentatives malheureuses n’échappèrent pas à Si Tayeb. Mille fois, pas moins, je surpris son regard de braise quand je refaisais surface, pointant le périscope hors de la couverture. Jamais il ne détourna les yeux. Sa pupille brillait, j’y puisai un regain d’énergie et pour le narguer, replongeai à l’ouvrage. Une fois, en pleine nuit, je le surpris reluquant mon cul découvert parce que la couverture avait glissé. Je réprimai mon réflexe et me figeai, immobile, cédant à l’envie d’aguicher le bonhomme. En bonne hypocrite, je le fis sournoisement, le surveillant en douce, mimant la môme endormie. J’étais passablement émoustillée. Plus excitée même que le jour où je ferrai Séba. Je mouillai ma culotte et regrettai presque de l’avoir gardée pour dormir. J’aurais voulu ...