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Mes aventures sur « Paris - Dakar »
Datte: 11/12/2017, Catégories: fh, fhh, grossexe, plage, bain, voyage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, journal, roadmovie,
... fil de mon récit. Le colosse encouragé par mon invite revint à la charge. Il poussa et poussa encore. Je pleurai de plus belle et gueulai ma souffrance et pourtant j’en voulais encore davantage et fis tant et plus jusqu’à ce que son zob monstrueux fut entièrement remisé. Mes fesses s’incrustaient dans le bide du sumo et mes cuisses contournaient bizarrement les siennes en une sorte de prise absolument opportuniste et quelque peu improbable vu la différence des gabarits. Jamais je n’aurais cru que mon con puisse engloutir tant de barbaque. Et de la raide, pas faisandée du tout, dure comme de la pierre. Je la sentis frayer et faire son nid parmi mes tripes, distendant la paroi du vagin, bousculant l’utérus, pressant ma vessie. Quand le sumo fut satisfait, il posa, le temps que je m’habitue, puis il lança la musique dans le style refrain, mais on n’entendit rien, rien que mes glapissements. L’hercule œuvra d’abord lentement puis de plus en plus vite. Je fus emportée dans un tourbillon irrésistible et déboulai dans l’Olympe, côtoyant ...
... les dieux et braillant de plus belle. J’en oubliais Ahmed et fus totalement prise au dépourvu quand ce dernier lâcha ses bordées. J’en bavai, laissant filtrer aux commissures le trop-plein de laitance. Abdallah choisit ce moment pour éjaculer à son tour, des giclées interminables, puissantes, chaudes et grasses, qui frappèrent le fond de mon vagin. L’apothéose m’emporta à mon tour. Je râlai, bavant de partout et lâchant des flots d’amour qui dévalèrent avec le surplus de foutre et refluèrent vers l’entrée, suintant tout autour du phallus enchâssé et dégoulinant le long de mes cuisses. ooo000ooo Séba réussit à embobiner mon père. Le faux jeton colporta mes frasques et troqua mes coordonnées contre un billet retour vers Paris. Lequel billet soit dit en passant coûta un max et bien plus cher qu’un billet aller et retour. Le paternel rappliqua à Nouakchott une semaine plus tard. Il ne me trouva pas tout de suite. Entre-temps j’avais déménagé parce que Ahmed et Abdallah avaient repris la piste de Nouadhibou. Un pote au sumo m’hébergeait.