Mes aventures sur « Paris - Dakar »
Datte: 11/12/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
grossexe,
plage,
bain,
voyage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
journal,
roadmovie,
... être nue, offerte à la convoitise de ce pirate du désert. L’homme n’était certes plus de prime jeunesse, mais il gardait une belle prestance, plus que mon poltron de compagnon. Je ne pense pas néanmoins que cela fut suffisant pour déclencher l’alchimie de ces instants magiques. Il y avait autre chose, il y avait forcément autre chose. La nuit elle-même était magique et le pouvoir des elfes sans limites. Je les savais à l’œuvre depuis ce moment étrange quand le disque rouge dissout la ligne d’horizon. Dès lors, c’était eux qui prenaient possession des lieux, de mon esprit et de mon corps tout entier. Si Tayeb s’approcha, droit, souple et silencieux, auréolé par la lumière des étoiles. Je l’aurais suivi s’il me l’avait demandé, mais il ne fit rien de ce genre. Son but était plus noble. Il se saisit de la couverture et m’en recouvrit, masquant ces atours que je brûlais de lui offrir. Séba un poltron, difficile à croire, n’est-ce pas ? En France, je le pressentais déjà, mais cela m’attendrissait plutôt et à dire vrai je m’aveuglais quant à la portée de ses faiblesses. J’avais tort, à l’usage c’est horrible. Ce couard ne voulait pas même m’escorter pour pisser. Il avait encore plus peur que moi de l’obscurité, des scorpions, des vipères à cornes, des mines et tutti quanti. Il m’eut bien vu m’exhiber à la vue de tous pour s’éviter la corvée et ne point trop s’éloigner. Je suis persuadée qu’il fut plutôt soulagé et en tout cas il ne regimba pas quand Si Tayeb proposa de me ...
... chaperonner, clamant à la cantonade qu’il n’en faisait pas moins pour sa fille. Me voyait-il comme sa fille ? Je n’y crus pas trop. Du reste, les lueurs de convoitise qu’il me sembla déceler malgré l’obscurité me rassurèrent tout à fait quant à ma féminité. Nos écarts ne durèrent jamais plus que nécessaire, mais parfois l’émotion me tétanisait tant que je n’arrivais plus à pisser. À force de concentration, je parvenais à faire le vide dans ma tête pour me détendre et oublier la présence masculine autant que les lasers infrarouges probablement pointés sur la partie dénudée de mon anatomie. Il m’en coûtait d’éteindre mon fantasme alors qu’il prenait du piment, mais c’était le prix à payer pour vider ma vessie. Une fois, alors que j’en avais fini avec mon petit pissou, et que je m’apprêtais à revenir vers le camp, je surpris mon cerbère accroupi dans une pose assez comparable à celle que nous prenons pour uriner. C’est la coutume chez les hommes de ce pays. Je le savais et ne m’en étonnais plus, mais au moment ma curiosité était tout autre. Dès que je vis l’ombre ainsi tassée sur elle-même, mes pensées partirent en vrille dans mon cerveau. Tous mes neurones prirent l’affût, appâtés qu’ils étaient par une espérance lubrique autant que loufoque. Je brûlais d’apercevoir cet appendice typiquement masculin, qui parait-il distingue les mâles entre eux aussi bien qu’une empreinte digitale. Disons, pour faire digne, que j’attendais un phénomène qui pouvait ne pas être ordinaire. Pour mon dépit, ...