Mon enfer (4)
Datte: 16/12/2017,
Catégories:
Divers,
... fois la crème uniformément répartie, j’écarte d’une main les fesses et mon glaive se met en devoir de parachever son travail. Il glisse, presque silencieusement sur les pores, incisant franchement tous les poils qu’il rencontre. Ils flottent désormais dans l’eau de mon récipient. C’est bien glabre que se retrouve le derrière de Francine et ma main qui passe sur son cul pour sentir si malencontreusement je n’aurais pas oublié un follicule, ma main ne rencontre aucune aspérité irritante. — Ne bouge surtout pas, je reviens. — Non ! Pas de danger, c’est trop bien, c’est trop bon… Nouveau haussement d’épaules avant que je ne regagne le lavabo pour vider ma bassine et reprendre de l’eau tiède propre. Je reviens et le gant sur la main, je frotte sans violence cette motte que je viens de remettre au gout du jour. Je fais plusieurs passages, de manière à éliminer toutes traces blanchâtres laissées par le gel. Je termine par un séchage à l’aide d’une serviette douce. Francine n’a pas bougé, mais c’est maintenant sa main qui vient explorer l’endroit que je viens de rendre accueillant. Elle passe une première fois, puis une seconde, écarte sans ménagement les grandes lèvres, y laisse trainer son index bien humecté. Puis le jeu se prolonge sous mes yeux. Elle n’a pas rouvert les paupières et elle fait comme si je n’existais pas, se masturbant sans vergogne en ma présence. Un instant désarçonnée par tant de légèreté, je suis scotchée par un spectacle qui loin de me dégouter aurait plutôt ...
... tendance à m’émoustiller. Elle ne cache même pas ses cris de bonheur, et je suis certaine qu’elle se fait du bien. Elle se tend sous la pression que ses phalanges exercent sur son clitoris. Je remarque même et c’est surtout parce que les poils sont rasés que celui-ci est sorti de son capuchon de chair et qu’il se lève à l’instar d’un micro pénis. Francine ne semble plus se soucier de moi, elle n’est plus dans mon monde, mais bien entrée dans un autre univers ! Elle libère sans aucun doute toutes ses tensions de la soirée par ce jeu de main époustouflant. Son ventre se creuse sous les caresses suavement distillées, par son index ou son majeur, quand ce n’est pas de temps en temps par les deux confondu. Je sens monter en moi une chaleur qui m’entoure de partout et je suis à peu près sûre que mon visage rougit. Francine, elle persiste à se caresser et elle me donne envie… d’en faire autant. Je ne résiste que par pudeur, je sais c’est con d’avoir des principes, mais on ne revient pas sur une éducation plus que rigoureuse. Je ne peux cependant pas détacher mes yeux de ces mouvements que font les paluches de la belle. Elle ouvre tant sa foufoune que le rose de son intérieur est visible comme un nez au milieu d’un visage. Je me surprends à mouiller devant cette scène plus que torride et je sens littéralement couler, entre mes cuisses, cette cyprine que mon ventre distille malgré moi. La violence des spasmes qui secouent la belle sur le lit de fortune n’a d’égale que celle qui soudain ...