1. 49.2 Dans ma tête, dans mon cœur, dans ma chair


    Datte: 18/12/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... envie de te faire péter le cul ! » m’intime-t-il. « Oh oui Jérém… baise-moi… défonce-moi… fais-moi jouir ! ». Il m’a mis dans un tel état qu’il pourrait me demander n’importe quoi, je serais incapable de le lui refuser… Et là il s’enfonce d’une traite et commence à me limer… sa nouvelle saillie ne dure pas longtemps… quelques instants plus tard, je l’entends balancer, la voix noyée par le plaisir qui secoue son cerveau comme une décharge électrique : « Prends ça salope… ». Je vois à la contraction de son visage que le premier jet vient d’atterrir au fond de moi… et là, contre toute attente, ses mains quittent mes bras… elles se posent sur mes tétons en prenant appui dessus… son bassin recule, il sort de moi… ses autres giclées, abondantes, chaudes, denses, sont pour ma queue, pour mes couilles, pour mon torse, le tout dernier étant pour ma joue… Dehors, il pleut toujours… et mon Jérém a juté comme rarement je l’ai vu juter… Il gicle sur ma peau Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette ardeur Qui efface ma pudeur ? Il a joui et j’ai joui aussi… oui, juste après la fin de l’orage « Jérém », mon jus s’est mélangé au sien, sur mon torse… Je suis démonté, épuisé... c’était bon, puissant, bestial… baiser comme des animaux, c’est génial… mais là… là j’ai besoin d’un câlin… même un tout petit rien du tout… un petit truc pour amortir ma chute et ma tristesse après l’orgasme… Je le vois très vite amorcer le mouvement pour quitter le lit… c’est presque instinctivement que ma ...
    ... main ose une caresse sur son avant-bras pour essayer de le retenir… Geste inutile… le bogoss se dégage comme s’il avait été piqué par un moustique… quel con, quel insupportable petit con… Si tu lâchais un peu prise, mon Jérém, ce serait tellement plus facile, pour toi autant que pour moi… Je sais que quelque part au plus profond de ton être se cache une vraie sensibilité, un besoin de tendresse, je le sais parce que je les ai entrevus un jour, ou plutôt une nuit… depuis, j’ai l’impression d’entrevoir tes fêlures en filigrane de ton arrogance… c’est comme si un mur de verre se dressait entre nous, épais, incassable, infranchissable… j’arrive à lire dans tes besoins profonds, mais je ne peux pas les atteindre pour essayer de les satisfaire… C’est fou la distance que tu mets entre nous… il faut vraiment vouloir t'aimer toi… mais moi je t’aime… et ces traces de coups sur ton visage m’attendrissent à un point… tu ne peux même pas savoir… Je le regarde se lever, attraper le rouleau de sopalin, me le balancer, avant de partir à la salle de bain… j’entends l’eau couler dans l’évier… ma bite et mes couilles sont trempées de son jus… l’eau tombe toujours dans l’évier… ça me laisse le temps de me donner le moyen de me rappeler à quel point j’aime ça… ce gout salé et chaud de bogoss… Le bogoss réapparait avec sa démarche assurée, conquérante, à l’aise avec son corps de ouf même après avoir joui… impressionnant… « Vas-y, t’as eu ce que tu voulais… » me lance-t-il pendant qu’il commence à se ...
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