Branleur !
Datte: 23/12/2017,
Catégories:
h,
Collègues / Travail
toilettes,
douche,
telnet,
Masturbation
humour,
... évidentes de trente ans de sodomie. On signale un durcissement du conflit. Poursuivez, votre altesse. À quatre pattes ? Oui, parfait. Tournez la tête par ici, je vous prie. J’aime regarder les yeux des femmes que j’encule. Voilà. Respirez calmement, ça ne devrait pas faire mal. Pensez à vos chaussures… et paf ! Ça y est, tu l’as dans l’os ! Paré pour une étreinte éclair. Le poing serré est lancé. Mode automatique. Une cognée rapide, frénétique. Presque une vibration. Oubliés, l’Internet et mon microscopique studio. Il n’y a plus qu’elle et moi. Elle bouge, elle gémit, je l’entends, elle est douce, elle existe. Le poing accélère. Ça chauffe. Un jour, comme ça, un type a inventé le feu. Premiers indices de fumée. Le niveau monte dans le circuit d’eau bouillante. Une trombe s’engouffre dans le canal. Rétention impossible. Surpression. Ouverture du clapet. Dégagement ! Un long plumet de vapeur blanche s’échappe de la soupape et retombe en gouttelettes sur le linoléum. Comme je me fais pas avoir deux fois dans la même soirée, j’ai préparé, sans vous le dire, un mouchoir en papier pour me kleenexer la dextre en cas de besoin. Précaution superflue car mon bec verseur n’a pas bavé. Je mets donc à profit le jetable accessoire pour m’essuyer le bout du gland, et j’en attrape un autre pour éponger par terre. Je mate encore une fois la vieille peau sur l’écran. Elle a pris pas mal de rides, en cinq minutes. Elle a aussi beaucoup perdu en noblesse. Peut-être une pute en fin de droits, ...
... ou une ancienne stripteaseuse, qui se loue au rabais pour des photos pas chères. Combien pour la sauter ? Cent, cent cinquante euros ? Dégoûté, je vais me coucher. Decrescendo du ventilateur. Clic discret. Ecran noir. Je me fous rapidement au lit, et autorise la nuit à m’envelopper. Je me laisse écraser par le poids du sommeil, dans cet élément noir et liquide dont l’indicible calme n’est perturbé que par… un sourd martèlement. De deux choses l’une : Soit quelqu’un souhaite abattre une cloison d’intérieur à trois heures du matin, soit le couple du dessus vient de remettre ça. Immédiatement, comme pour dissiper mon incertitude, un hululement d’origine indubitablement féminine m’incite à retenir la seconde hypothèse. C’est dommage, parce que j’aurais bien dormi un peu. Mais qu’y a-t-il de plus évocateur que les cris de plaisir d’une femme pour stimuler l’imaginaire libidineux d’un bipède sans plumes ? J’attrape ma verge molle entre le pouce et l’index. Quand y’en a plus, y’en a encore. J’essaye d’ignorer le rythme qu’ils imposent, là-haut. Je repense à mon trio lesbien du début de soirée. Les meufs du boulot, je pourrais toutes les aligner cul nu et les niquer à la chaîne. Alors je fais défiler mon cheptel de fesses et de seins, déshabillant aux rayons X les collègues vêtues que je croise chaque jour. J’évalue mentalement la forme que prendraient leurs poitrines désoutiengorgisées. Je remodélise des culs aperçus par transparence. J’extrapole la texture de leur peau à partir des ...