1. Branleur !


    Datte: 23/12/2017, Catégories: h, Collègues / Travail toilettes, douche, telnet, Masturbation humour,

    ... données observées par l’échancrure d’une manche ou à l’occasion d’une plongée visuelle au fond d’un décolleté. À chacune, j’attribue des caractéristiques censées lui correspondre. Myriam, la pimbêche maso. Cathy, spermophile aux mamelles laiteuses. Monique, une dominatrice en manque. Sylvie au cul divin, obsédée sodomique. J’impose à mes créatures les combinaisons les plus extravagantes. Le mobilier de bureau permet nombre d’acrobaties. Je les prends une à une, ou quelques fois par paire. Rarement plus de trois en même temps. Elles me font leur petit peep-show et je les saute sur leur bureau, contre l’armoire, dans un fauteuil. J’en choisis deux bien chaudes pour une pointe de vitesse. Ça vient. Change pas de main. Je m’incruste dans un soixante-neuf entre la réceptionniste et la comptable. Faites pas attention à moi, les filles : j’apporte les condiments. Langue rose sur raie poilue. Je reconstitue les traits d’un visage, évoque un parfum. Après deux trois pistonnages bien sentis, j’intercale ma quéquette entre un clit et une langue, et j’explose. Le corps tétanisé des mâchoires aux orteils, j’expulse mes derniers globules et quelque chose m’assomme. Je sombre. Trois petites gouttes et puis s’en vont… … Réveil. Midi. Morne. Gris. J’ai la queue courbaturée. Le sperme a séché sur moi et mes poils du ventre sont tout collés. La mécanique est au point mort. J’arrive tout de même à trouver une idée sympathique, pour profiter des dispositions matinales. Pas décidé à me lever, ...
    ... encore à moitié endormi, je m’offre la compagnie onirique d’une ancienne maîtresse qui suçait à la perfection. L’émouvant souvenir de son visage d’ange, quand elle arrondissait ses lèvres en me gobant, me revigore temporairement. Pression. Agitation. Crescendo habituel. Rapide écrémage. Soulagé. En mémoire de l’éphémère relation qui lui brisa le cœur, je dédie à Laure la seule goutte de vie que je sécréterai aujourd’hui. Essuyage dans les draps, j’en ai plus rien à foutre. Je me lève avec une rare mollesse. Le zéro absolu de la testostérone. Téléguidage jusqu’à la douche. Shampoing amer et déluge d’eau chaude. Un œil s’ouvre. Petit à petit, la sève recommence à circuler et mes membres s’éveillent. Je masse ma verge endolorie. Décalottage en règle et ablutions intimes ; la plomberie peut servir à nouveau. D’ailleurs, il me vient une idée bien bandante – mais beaucoup trop vicieuse pour l’exposer ici – tandis que repense au couple du dessus. Les jambes faiblissantes, adossé aux carreaux, une main agrippée aux poils pectoraux et l’autre polissant mon membre savonné, je m’arrache alors un dernier orgasme sans verser une goutte. Je suis complètement sec. Absolument démotivé par toute idée d’activité, je me prépare un café soluble en allumant l’ordi. Pas la peine d’ouvrir les volets, il fera nuit dans huit heures. C’est alors que le téléphone sonne : — Xavier ?— Mouais.— C’est Alexandra. Tu te souviens ? Ça si je me souviens ! C’était une fille vraiment sympa, que j’avais draguée dans ...
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