1. Les amants de Lady Schneckerley (3)


    Datte: 29/12/2017, Catégories: Hétéro

    ... préférez trop le cul des laquais... Regardez comme on s’y prend avec une femme... Peut-être cela vous servira-t-il et vous remettra dans le droit chemin. J’avais déjà relevé ma robe et il me fourrait la chatte avec délectation. "Ah mon fils, je vous assure, la femelle est chaude et bonne... Une belle garce que vous avez là... Et si je ne vous fais pas moi-même un descendant à ce compte là, c’est que la bougresse est vraiment stérile". — Allons Monsieur, montrez à mon fiancé comment on peut prendre d’autres plaisirs. — Certes Madame, certes, tournez-vous je vous prie. Et ainsi il me prit par derrière. Le fils, dégoûté sans doute, s’était retiré. Le père y allait sans mesure : "A foutre-Dieu, Madame, voila longtemps que je n’avais connu tel jouissance. Vous savez y faire". — C’est que, Monsieur, mon défunt mari ne me comblait guère. — Mais vous Madame, vous deviez le combler. D’honneur, je n’ai que peu connu de cons semblables au vôtre... Et avez-vous d’autres talents Madame ? — Retirez-vous Monsieur que je vous montre. Et je lui fit une pompe magistrale tout en délaçant ma robe pour libérer mes seins. "Prenez garde, prenez garde, vous allumez un feu en moi... attention....". — Jouissez Monsieur, Jouissez... tenez voyez mes seins... — Ah oui, donnez les moi... ah ils sont doux, je viens... ouiiiiii. Et il éjacula puissamment entre mes mamelles blanches. "Monsieur... Quelle abondance ! En vérité je ne sais si j’ai déjà vu une telle quantité de foutre. — C’est qu’il y a fort ...
    ... longtemps qu’on ne m’a donné tel contentement. — Et je serai fort aise, si vous le voulez, de vous en donner d’autre. — Il le faudra car ce n’est point ainsi que nous verrons si vous pouvez procréer. — Venez ce soir dans mon appartement. — J’y serai la belle, j’y serai... Ah je crois ma future bru que nous nous entendrons bien. — Certes Monsieur mais ne croyez pas pour autant que je vous donnerai l’exclusive. — Bien, Madame, Bien... A ce soir donc, à ce soir. En fait, il m’accorda la nuit. Son épouse défraichie et puritaine ne lui donnait guère l’occasion désormais de satisfaire à certaines exigences de la nature, aussi se rattrapa-t-il en une nuit où je pus apprécier tous les talents de son vit et de ses mains. Ce n’était certes pas le meilleur amant que je connusse, d’autres ayant un membre plus gros et plus long, mais je dus rendre hommage à la fermeté du sien et à la capacité de ses bourses. A plusieurs reprises, il m’arrosa le fond du con et je sentis sa semence s’écouler en moi. "Vous voici pleine comme une jument". — C’est que vous avez fait office d’étalon. kexkmmig — Ce n’était point difficile en vos mains expertes. — Fixons la noce voulez-vous. D’ici là je m’engage à ne point reprendre de foutre en moi. Nous verrons alors si je puis vous donner un petit-fils. — Bien Madame, bien. La noce fut fixée pour un mois et demi-après. Quant elle eut lieu, avec un certaine discrétion compte tenu de mon veuvage, je n’étais point enceinte. Je passai la nuit de noces avec mon ...
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