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Mon enfer (2)
Datte: 06/01/2018, Catégories: Divers,
... de discerner le bien du mal. Je me retiens pour ne pas sauter sur cet individu qui me serre le haut du bras. — Je suis heureux de te revoir. — Pardon d’être entrée sans m’annoncer… mais la porte n’était pas fermée. — Elle ne l’est jamais ! J’aime que mes pioupious viennent à leur guise dans ma maison ! Je n’ai que la musique pour raison d’être… enfin peut-être plus seulement… — Je… j’aimerais que tu… que tu m’embrasses… tu veux bien ? Dit ? Il s’est juste un peu plié en deux pour toucher ma bouche de ses lèvres. Une incroyable sensation me fait trembler. Mes lippes s’ouvrent sous ce baiser quémandé à Grégoire. Et comme par enchantement ma langue et la sienne se heurtent, se croisent, pour s’enlacer dans un ballet qui me coupe le souffle. Quand il me lâche pour reprendre un peu d’air, j’en profite pour me remettre debout. À nouveau attirée contre lui, un autre baiser fait suite à ce préambule qui me rend ivre d’envie. Ses bras me tiennent contre une poitrine forte sur laquelle s’écrase la mienne. Les baisers succèdent aux baisers et puis tout s’enchaîne à un rythme prodigieux. Je suis la première à chercher les boutons de sa chemise ! Comme rien ne va assez vite à mon gout, il en sera quitte pour en recoudre quelques-uns. Son torse nu m’interpelle, m’enivre aussi. C’est presque férocement que je m’attaque à la ceinture de cuir qui ferme son pantalon. Il tente bien de calmer mes mouvements désordonnés ! Peine perdue, j’ai trop envie de faire l’amour ! C’est devenu une idée ...
... fixe. Il doit me prendre pour une cinglée ! Hier je refusais ses avances et ce soir c’est moi qui suis prête à le violer. Pourtant, il n’a pas l’air de se plaindre du traitement que je lui inflige. Il s’est mis aussi à ouvrir mon corsage. L’attache de mon soutien-gorge résiste à ses doigts de male excité. Puis il parvient enfin à libérer mes deux seins de leur carcan de tissu. Sa bouche maintenant se livre à de délicieuses arabesques sur chacun d’eux et je tremble d’impatience. Si ses lèvres sucent mes tétons, ses mains poursuivent le but qu’elles se sont fixé. Ma jupe retrouve sur la moquette le pantalon du monsieur. Il ne lui faut que peu de temps pour tirer sur l’élastique de ma culotte qui coule le long de mes jambes. Je n’ai aucune envie de m’embarrasser de préliminaires. Je ne veux que sentir cette trique qui bat mon flanc, je ne veux que la savoir entrée en moi. Nous basculons tous les deux sur le duvet de laine qui couvre le sol. Il est allongé de tout son long, le dos face au sol ! Je monte sur ce ventre un peu rond, et me laisse glisser, cuisses largement écartées, jusqu’à sentir son pieu à l’entrée de mon sexe. Alors, sans aucune hésitation, je descends encore d’un cran et d’une seule traite, je m’empale littéralement sur ce chibre qui y trouve son compte. Il ne bronche pas non plus quand c’est mon bassin qui ondule pour ressentir toutes les vibrations de cette bite fichée en moi. Je deviens folle, je me cabre sur l’objet, me propulse sur l’engin, je me secoue de ...