Soumission
Datte: 06/07/2017,
Catégories:
ff,
inconnu,
complexe,
magasin,
fsoumise,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
nopéné,
journal,
... conseillé récemment et que je venais de m’y mettre. — Avec moi, vous feriez des progrès plus rapides, m’assura-t-elle, si, bien sûr, vous le vouliez vraiment. Qu’en dites-vous, Colette ? La situation était embarrassante. Je me sentais déstabilisée, et, pourquoi ne pas l’admettre, cette femme me troublait. Ses manières directes me subjuguaient. J’avais si souvent rêvé de me trouver en sa présence, dans son intimité, que je craignais que mon désir d’elle ne fût trop évident. J’acquiesçai confusément d’un mouvement de tête à ses derniers propos. J’aurais voulu me dégager de cette conversation qui prenait une tournure inattendue, mais je restais clouée sur place malgré moi. Madame Ève (oui, l’appeler ainsi me vint spontanément) se détourna un instant pour attraper une coûteuse paire de bas exposée sur le présentoir voisin. — Je vous les offrirais avec plaisir, et même cinq autres, Colette, car vous m’êtes sympathique, malgré tout. Mais pour cela, il faudrait que vous fassiez quelque chose pour moi. Je protestai qu’il n’en était pas question, que je ne pouvais accepter un tel cadeau, mais que, bien sûr, j’étais prête à lui rendre service, qu’elle n’avait qu’à me dire ce qu’elle souhaitait. — Cette dépense n’est rien pour moi, je vous l’assure, sourit-elle ; et puis les bas se filent si vite, il suffit de les accrocher si peu que ce soit, avec l’ongle, une branche épineuse… Six paires ne sont pas de trop, croyez-moi, mais êtes vous prête à les mériter ? J’aimerais que vous les ...
... passiez ; vous voyez, ils tiennent seuls, sans ces porte-jarretelles qui déforment le dessin d’une jolie silhouette. Cela paraissait lui tenir tellement à cœur que j’ai accepté de les essayer, pour lui faire plaisir. Comme je cherchais des yeux les cabines, elle m’a précisé que ce n’était pas nécessaire, puisque les rayonnages nous entouraient presque complètement. C’était certes un peu insolite, mais en regardant autour de nous, j’ai vu qu’en effet nous étions isolées des autres acheteuses. J’allais passer mes mains sous ma robe pour enlever les collants quand je me suis souvenu que je n’avais que ça. J’ai donc insisté pour aller en cabine, en confessant la vérité sur mes dessous. Mais elle n’a fait qu’en rire. — Au contraire, Colette, c’est bien plus amusant comme ça, et je saurai ainsi si vous tenez vos promesses quand vous vous engagez. J’ai encore un peu protesté, mais ses pupilles se sont rétractées méchamment et un vilain rictus s’est marqué sur sa bouche. Par peur d’un esclandre, j’ai obtempéré à sa volonté. Appuyée contre le bord de la gondole, j’ai fait glisser le haut de mes collants sur mes cuisses, en me tortillant pour éviter que la robe ne remonte. Mais pour les retirer, j’ai dû d’abord ôter mes trotteurs qu’elle a fait valser à un mètre d’un coup de pied négligent. Ensuite, je n’ai pu faire autrement que relever une cheville afin de tirer plus commodément sur la première jambe des collants. Madame Ève était en face de moi. J’ai vu ses yeux se porter sur mes ...