Le plus beau jour de ma vie (2)
Datte: 24/01/2018,
Catégories:
Hétéro
... force, et son pubis qui tape sur mon clitoris me transporte dans un autre monde. Mon vagin me fait mal ; il me pique, me brûle, et enfin son flot m’envahit. Malgré tout il continue ; largement lubrifié, son mandrin glisse dans mon étui. Je ne sens presque plus rien. Le feu s’éteint, sa machine s’arrête. Nos bouches se rejoignent et nos langues amoureuses se mélangent ; nos regards coquins se croisent. — Alors, ma petite salope… tu as aimé, on dirait ? — J’ai adoré ! Tu m’as humiliée avec tes paroles, mais ça m’a terriblement excitée. Juste une chose : tu ne me le diras pas en public, s’il te plaît. — Tu n’as aucune crainte à avoir : c’est notre secret ; je t’aime trop pour te faire une chose pareille ! Un doux baiser met fin à cette petite séance d’un nouveau genre. Nous n’avons plus besoin d’aide de personne pour nous donner des idées : elles viennent toutes seules. Remis sur pieds, nous retournons retrouver Anne. Nous voyant entrer, son visage s’assombrit. Elle vient vers nous et bafouille : — Je… vous… — Alors, ça t’a plu ce qu’elle t’a fait, cette petite… coquine ? Elle est rouge, ose à peine nous regarder, et baisse les yeux. — Pardonne-moi, c’est de ma faute… — N’en parlons plus. Dis-moi, c’est Michel qui te manque ? lui demande Manu. Un hochement de tête nous donne une réponse affirmative. Manu reprend : — Si tu le veux, avec Julie on garde la boutique et tu vas le rejoindre trois ou quatre jours ; ça te feras du bien. Fais-nous confiance : nous allons gérer. C’est ...
... comme tu veux. Elle relève la tête. Son visage s’éclaire, son sourire revient ; elle est de nouveau rayonnante. Elle est partie pendant quatre jours, et nous nous sommes occupés de tout avec l’aide de sa mamie. Puis elle est rentrée, nous a raconté. Elle est heureuse ; nous aussi. Pendant son absence, nous nous sommes mis à rêver que le camping était à nous ; cette activité nous plaît : c’est devenu notre projet d’avenir. Maman et Jean-Mi sont venus passer le dernier week-end. Anne nous à proposé de nous embaucher pour l’été prochain ou même plus car ils veulent agrandir ; mais à deux, ce n’est pas possible. Ils voudraient trouver des associés, mais c’est compliqué. Jean-Mi répond que c’est une possibilité envisageable ; on se reverra après la saison quand le camping sera fermé. Anne nous remet deux chèques et des bulletins de paie. La somme est rondelette ; nous sommes ravis ! Sur la route du retour, le principal sujet de conversation est le camping. Maman et Jean-Mi nous font comprendre qu’une fois le bac en poche, cela pourrait être possible ; il faut voir, on en discutera. Le bac ne sera qu’une formalité, c’est juré. Nous sommes arrivés. Nous découvrons notre nouvelle maison : tout a été bouleversé à l’intérieur, comme prévu. En haut, un joli petit appartement décoré avec goût comme maman sait le faire : une chambre, une salle de bain avec WC, et une pièce à vivre avec un coin cuisine. En bas, nos deux chambres rassemblées forment une belle chambre avec salle de bain ...