L'artiste, la déesse et le mortel
Datte: 27/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... corps nu... J'avais perdu la notion du temps. Graziella, ne tenait plus : - Bon, Nath, on va peut-être faire une pause ? - Oui si vous voulez, j'ai esquissé l'ensemble, il me restera à travailler quelques détails... - Ouf, allez tu peux te lever petit mortel ! Pendant la pose, je tenais les mains de Graziella, mais à ce moment-là, c'est elle qui se saisit des miennes, puis avec le dessus de son pied, tout en rigolant, elle appuya légèrement sur mes couilles, me signifiant de me lever. Ce contact me fit frémir. Je me retrouvai debout devant elle, mon sexe tendu tout près de son ventre, mon gland effleurant les plis de sa robe. Quand elle libéra mes mains, je me précipitai pour enfiler le peignoir, ce qui les fit beaucoup rire. Puis on s'assit dans les fauteuils. La déesse me titillait : - Tu es vraiment pudique, en fait ! On l'a vu ton petit truc, maintenant ce n'est plus la peine de te cacher. - Oh, mais tu peux comprendre que ça me gêne... - Mais nous, ça ne nous gêne pas ! Hein Nath, qu'est-ce-que en penses ? - Pas le moins du monde ! Sauf que je ne sais encore pas comment je vais dessiner ça... - Tu devrais peut-être te soulager, revenir à un état normal ? - Euh, mais comment ? - Ha ha ha ! Tu ne l'as jamais fait ou quoi ? Tu veux peut-être qu'on te montre ? - Non, non ce n'est pas ce que j'ai voulu dire. - Allons, ne soit pas si timide. La déesse s'approcha de moi, et passa une main sous le pan de mon peignoir, pour se saisir de mes couilles. Une onde de surprise et de ...
... plaisir parcouru chaque parcelle de mon corps, je faillis éjaculer à ce simple contact. Consciente de ma vulnérabilité, elle défit la ceinture et ouvrit le peignoir, m'exposant de nouveau à leur regard. Elle cracha dans son autre main et me masturba lascivement, je ne tardai pas à jouir, sous leurs yeux joyeux et satisfaits. Quel instant inoubliable ! Jouir des mains d'Aphrodite en personne, avec la complicité de Vénus en pyjama, ce n'est quand même pas donné à tout le monde. L'artiste me tendit un paquet de mouchoirs en papier : - C'est très bien ! Après que tu te sois nettoyé, on va reprendre le travail, je vais peut-être pouvoir dessiner ton petit zob maintenant. - Hi hi hi ! Petit, petit... Il y a pire quand même tu ne trouves pas Nath ? - Mouais... Si tu le dit. Mon dernier copain en avait une tellement énorme, que je ne me rends plus compte maintenant ! - Ah bon, Eric ? - Oui, comme ça, elle est... - Oh purée ! Ça devait être bon... - Bof, au début ça me faisait un peu mal, puis après ça ne durait jamais longtemps. Pas terrible en fait... - Bon je ne vous dérange pas ? - Ah c'est vrai, les mecs n'aiment pas quand on parle d'eux comme ça. Tiens regarde, elle s'est toute ratatinée. Vite au boulot ! J'étais dans un état second, je planais complètement. On a repris la pause exacte, suivant les indications de l'artiste. J'avais froid, il me semblait que la température était descendue d'au moins cinq degrés. Je ne bandais plus, mais mon gland était resté décalotté, je sentais ...