L'artiste, la déesse et le mortel
Datte: 27/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... des courants d'air passer dessus. Avec le froid, mes couilles aussi se ratatinaient. Je pensais à l'image que Nath avait de moi à cet instant, et ce n'était pas très glorieux, elle qui semblait si habituée au grosses bites... J’entendis le déclenchement d’un appareil photo et tournai la tête vers elle. - Gardez la pose ! - Mais… - C’est pour plus tard quand je peindrai, j’ai besoin d’avoir une idée de la lumière et de la couleur. Ne bougez pas je vais en prendre une ou deux autres. Puis à cause des coups d'œil en coin, de la proximité de la formidable poitrine de la déesse et de l’idée que Nath allait avoir des photos de ma petite nouille l'excitation est revenue, irrésistiblement. Elles remarquèrent tout de suite mon érection : - Ah dis-donc, toi tu es en forme ce matin ! - Euh, c'est pour te faire honneur déesse, tu es si belle... - Mmmmh j'aime qu'on me parle comme ça ! Mais n'espère pas que je vais encore t'accorder mes faveurs... Tu ne le mérites pas, petit mortel, tu n’es pas gentil avec l'artiste ! - Non non, c'est bon, j'ai eu le temps de dessiner la chose... - Ah OK... Plus besoin de faire redescendre la pression maintenant. Je te condamne à rester comme ça, mortel, à me faire honneur sans cesse, pour l'éternité. Hi hi hi ! Je restais dans cet état pendant que Nath fignolais quelques détails. Puis elle nous annonça que la pose était finie, que son esquisse était parfaite... Alors je me précipitai sur le peignoir de Nathalie pour me couvrir. Je ne retrouvai pas la ...
... ceinture. Nath nous invita à regarder son dessin au crayon. Il était magnifique, il allait lui servir de base pour la peinture. Elle m’avait affublé d’un sexe absolument ridicule, j’en restai bouche bée… Graziella éclata de rire : - Dis-donc tu ne l’as pas flatté notre petit mortel ! - Ah bon, tu trouves ? J’ai pourtant un bon sens des proportions. - Euh moi je suis d’accord avec Graz… - Je plaisantais… Quoique… En tout cas c’est dans le style. Vous n’avez pas remarqué que les hommes des statues grecques ont toujours un petit zizi ? - Ben si, mais moi j’ai l’air malin là… - Allez, ne te vexe pas, personne ne te reconnaitra. - A part nous bien sûr ! Ha ha ha ! La séance de pose était finie, mais je n’avais pas envie de me rhabiller. Je voulais en fin de compte que ce moment dure encore. Je laissais négligemment mon peignoir ouvert, mon sexe tendu vers elles. J’espérais que l’une d’elles prenne les choses en mains. Graziella s’est changée, nous avons bu un café. J’avais toujours la trique à l’air, mais elles ne semblaient plus tellement y faire attention. Après l’humiliation, une certaine frustration… A mon grand désespoir j’ai dû me revêtir, et on s’est dit au revoir. En sortant de l’immeuble, Graziella toute souriante me dit : - Ça m’a fait tellement plaisir de te revoir ! Et de te voir tout court… J’ai adoré te faire autant d’effet. - Et moi donc ! - Sacré Nath, elle a toujours de ces idées ! - Tu sais, j’aimerais bien qu’on se revoit, avec un peu plus d’intimité… - Oh hum… ...