1. Ça va barder pour son matricule !


    Datte: 29/01/2018, Catégories: f, ff, fff, jeunes, copains, nympho, piscine, miroir, odeurs, pied, Masturbation fgode, double, fdanus, jouet, uro, humour,

    ... soufflé qu’il se déroule sous les toits un spectacle spécial. La bête voyeuse ne veut pas déranger. Elle se tient immobile dans un coin de la chambre, près de l’entrée, les yeux d’amande ouverts sur la luxure femelle. Rêve-t-elle d’y prendre part ? Les amoureuses partagent la tige vibrante coincée entre deux entrejambes. La joie les dévore, seins contre seins, ventre contre ventre. La pure joie qui irradie sans que rien ne puisse l’éclipser. Les ombres de l’après-bac, de l’après-études, de l’après-vie, de l’après-amour sont noyées dans la lumière du moment présent. Le plaisir commun s’exprime par un hurlement d’allégresse. Les mains voyagent dans les cheveux ébouriffés, les yeux fermés car le goût et les odeurs de l’aimée suffisent. Les corps comme les âmes de celles qui s’aiment fusionnent dans des vapeurs de transpiration. — Elle te plaît, hein, Amandine ? demande Louise.— Oui. Tu devines tout. Pour tout t’avouer, j’ai tenté de la joindre avant de t’appeler. Finalement, c’est toi que j’ai eue, mon amour.— C’est parce qu’elle a éteint son portable ; je le sais parce qu’elle est chez moi, en train de réviser.— Et… que faisiez vous, toutes les deux, à part travailler ?— Devine… répond Louise avec malice tout en pelotant un sein avec un sourire entendu.— Toutes les deux, vous êtes de sacrées…— Goudous, comme toi. Tu veux que je l’appelle sur le fixe ? On pourrait faire une partie à trois.— Oh oui ! applaudit Maïna. Vous êtes géniales, toutes les deux. Elle embrasse Louise ...
    ... sur la bouche. Dix minutes plus tard, Amandine entre dans la chambre où la chaleur est suffocante. Les deux amies, qui sont restées nues à s’enlacer en l’attendant, l’accueillent à grand renfort de caresses et de baisers, allongées côte à côte en travers du lit. Sans même prendre le temps de se dévêtir, Amandine participe aux ébats avec ses mains et sa bouche qui courent partout sur les peaux moites, des orteils jusqu’aux chevelures mêlées, puis elle prend un feutre rouge pour écrire, sur les plantes des pieds, à raison d’une majuscule par peton, le mot LOVE. Elle décore les lettres de petites fleurs qui grimpent le long des orteils. L’écriture chatouille, mais le tracé bave car l’encre se mélange avec la transpiration. Satisfaite de son œuvre, Amandine prend une photo avec son téléphone avant que les sécrétions épidermiques aient tout effacé. — Je suis contente de te retrouver, Maïna ; cela faisait longtemps que j’avais envie de toi.— Moi aussi, dit Maïna. Je vous aime toutes les deux. Les trois jeunes filles retournent fureter dans le placard secret, et ensemble elles transportent le Sybian dans la chambre, ainsi que tous les autres jouets masturbatoires qui s’étalent sur le plancher. Louise, qui est vierge, ne peut pas introduire la tige en elle ; alors elle admire Maïna se propulser vers les sommets en lui caressant les seins. Elle dessine aussi, d’après nature cette fois. La pompe à clitoris. La fille rousse chevauche le Sybian noir, pur-sang érotique sur lequel elle se ...
«12...6789»