1. Ça va barder pour son matricule !


    Datte: 29/01/2018, Catégories: f, ff, fff, jeunes, copains, nympho, piscine, miroir, odeurs, pied, Masturbation fgode, double, fdanus, jouet, uro, humour,

    ... montre une Amazone farouche, intrépide dans sa façon de poursuivre jusqu’à l’extrême jouissance, sans craindre la petite mort. L’attirail de la mère est complet. Il faut vraiment trop chaud. Elles décident, malgré l’interdiction, d’aller poursuivre leurs ébats au bord de la piscine. Elles transportent tout l’attirail. Amandine se déshabille et jette ses vêtements au hasard sur l’herbe brûlée par le soleil. Trois plongeons dans l’eau bleue ponctuent ce joyeux déménagement. Toutes trois remarquables nageuses, les jeunes sirènes se pelotent en apnée. Puis, fatiguées, elles sortent de l’eau. Après quelques voluptueux ébats autour du Sybian, Louise et Amandine s’installent ensemble dans un transat, serrées câlinement l’une contre l’autre, pour lire le journal de la mère de Maïna. Le récit les fait beaucoup rire, et parfois rougir, tant le propos est grivois et les descriptions explicites. Maïna, pendant ce temps, leur offre la jouissance simultanée grâce à deux vibromasseurs dont l’un a besoin de plusieurs rallonges électriques mises bout à bout. Il faudrait pour cela que le fil contourne la piscine au lieu de passer au travers ; l’installation électrique de la maison disjoncte, et Louise manque de périr électrocutée comme Claude François au moment même où elle atteint l’orgasme. Maïna ne sait pas où se trouve le disjoncteur : tant pis, elle verra plus tard. Par contre, en cherchant dans le cellier, elle tombe sur une bouteille de grand vin de Bordeaux, un La Fleur-Petrus 1982 ...
    ... (une année exceptionnelle), que son père a mise en réserve pour la déboucher quand sa fille unique aura son bac, de préférence avec mention.« Bah, je n’ai rien révisé, je ne l’aurai jamais, alors, autant en profiter tout de suite… » se dit Maïna, ce en quoi elle se trompe parce qu’elle possède plus de talents qu’elle le croit. À défaut d’avoir rétabli le courant, elle récupère le flacon, un tire-bouchon, trois verres, et ramène le tout à ses amies en guise de rafraîchissement. C’est vrai qu’il est bon, ce Pomerol, mais il fait tourner la tête. Après ce goûter improvisé, les jouets sexuels reprennent de l’intérêt. Il y en a vraiment toute une variété. Louise avise deux grands godes-ceinture, l’un rouge, l’autre jaune, magnifiques avec leurs sangles de cuir. Cela lui donne une idée. — Dépucelez-moi, demande Louise. Des deux côtés en même temps.— Tu es sûre ? demande Maïna.— Ces godes sont énormes, la prévient Amandine. Tu risques d’avoir mal.— Pour moi, je sens que le moment est venu. Vous êtes celles que j’aime, et j’ai fait mon choix. Transpercez-moi, je vous dis. Afin de procéder à cette opération, elles choisissent de s’installer sur un matelas gonflable, au milieu de la piscine. Amandine, après avoir revêtu le gode jaune, est couchée sur le dos, et Louise, cuisses écartées, est allongée sur elle, également tournée vers le ciel, offerte, se sacrifiant elle-même sur l’autel du désir. Maïna triomphe à genoux, nimbée de soleil, parée du sceptre artificiel rouge. Elle se penche en ...
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