La tempête de neige (1)
Datte: 18/06/2017,
Catégories:
Divers,
... jambe. Je m’arrête en arrivant sur le palier, mais j’ai eu le temps de sentir au bout de mes doigts la douceur d’une toison fine et délicate. Je constate que l’immeuble est cossu. Nous entrons. L’appartement est coquettement aménagé. — Installe-toi, le temps que je prépare un petit souper. Veux-tu prendre une douche? — Pourquoi pas? La salle de bain est spacieuse et chose rare pour l’époque, je me retrouve devant une baignoire ronde. Je lui en fais la remarque. Elle sourit. — On a plus d’espace pour se câliner. Les baignoires rectangulaires sont trop étroites. On se cogne sur les bords et on se fait des bleus. Elle s’éclipse et je me douche rapidement. En catimini je sors tout nu de la salle de bain, et vais pour prendre mes vêtements dans ma valise au moment où elle sort de la cuisine. Elle dépose sur la table un plat fumant. — Oh là là! Tu es déjà prêt. Tu viens manger comme ça? — Non, je vais passer un vêtement. — Pourquoi? Il fait bon ici. Et puis, c’est original de souper tout nus. Je vais en faire autant. Ce sera vite fait, je n’ai pas de culotte. Viens me déshabiller, ce sera amusant et tu pourras ainsi me caresser et m’exciter. Nous avons été malencontreusement interrompus dans le train. — Nous allons nous rattraper. Je la prends dans mes bras et nous nous embrassons. Notre baiser est long et chaud, nos langues se mêlent. Je la sens frissonner. Un long soupir s’échappe de ses lèvres. — Oh! Que j’aime ça, dit-elle en se dégageant un peu. Laisse-moi reprendre mon ...
... souffle. Tu m’excites, je sens que ma chatte ne va pas tarder à s’émouvoir. Je mouille déjà. — Moi aussi, je sens ma bite qui s’énerve un peu. — Rien qu’un peu. Moi je coule. Vite, ôte-moi ma jupe que je sente ta bite contre mon ventre. En un clin d’œil, j’ai dégrafé la jupe qui tombe. Je la serre contre moi. Effectivement, ma bite s’est éveillée et s’est mise à enfler. Je la cale contre le ventre de la jolie demoiselle qui lentement descend sa main et la glissant entre nos corps, se met à me caresser doucement le gland déjà tuméfié. — Oh! Comme tu bandes déjà bien et je ne t’ai encore rien fait. C’est comme moi, ma chatte est toute humide de mon jus. Pourtant tu n’as fait que m’embrasser. Elle s’interrompt un instant, s’écarte légèrement et me regarde dans les yeux, comme si elle voulait me scruter. — Suis-je sotte, voilà près de deux heures que nous sommes ensemble, nous allons faire l’amour et je ne me suis pas présentée. Je m’appelle Marie-Anne. — Moi, c’est Jean-Henri. — Alors, baise-moi, je suis folle d’envie de sentir ta pine en moi. Mais avant tu vas me préparer en suçant bien fort mon minou pendant que je fais de même avec ta bite pour qu’elle soit dure comme du bois. Oh! Que j’en ai envie depuis si longtemps. — Tant que ça? — Oui, cela fait bien six mois. — Et entretemps? — Bien, je fais comme toi, sans doute, quand tu es seul et en manque. Je me branle la motte avec un gode. Tu veux le voir? — Bonne idée. C’est la première fois que je verrai une femme se faire jouir ...