1. Les lundis de Cendrillon, ou le grand théâtre du désir (3)


    Datte: 31/01/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, copains, profélève, volupté, BDSM / Fétichisme journal,

    ... je ne sais comment, la force de dire : « J’ai besoin de m’asseoir, Franck, s’il vous plaît… » Mais il osa répondre : « Vous ne vous sentez pas bien, Valérie ? Peut-être avez-vous trop chaud ? Peut-être faudrait-il vous aérer un peu ? » Je poussai un cri de surprise et presque d’effroi : Franck, brusquement, avait ouvert la fermeture éclair de ma robe et, exhibant mon dos nu, avait introduit ses deux mains sous le tissu jusqu’à enserrer mon ventre. « Non, non ! Là, Franck, vous… allez… trop… loin… », bégayai-je, le souffle court, trop court pour opposer une résistance crédible. J’avais fermé les yeux, serré les lèvres. « Viens de ce côté, Stéphane, touche comme son ventre aussi est chaud. Est-ce qu’une déesse peut avoir un ventre aussi chaud ? » Les mains de Stéphane passèrent alors à leur tour dans l’ouverture de ma robe, effleurèrent mon dos nu offert à leurs yeux, glissèrent sur mes hanches et vinrent caresser mon ventre, ce ventre lisse, ferme… Oh, quel supplice ! Sauraient-ils se retenir ? Moi je n’avais plus la force de rien. Défaillante, j’accueillais tout, j’acceptais tout d’avance, et je crus bien que mon heure était venue quand je sentis deux mains (était-ce celles de Franck ou celles de Stéphane ?) saisir ma poitrine ! « Ohhh ! Non… ! » Ce « non » était tout sauf un refus, c’était à cette seconde le plus explicite des consentements… Mes deux seins lourds, à peine protégés par un soutien-gorge de soie, empoignés par ces deux mains fermes d’un jeune homme que toute ...
    ... timidité et tout scrupule avait abandonné, me firent éprouver un chavirement presque complet. Je ne songeais plus à faire semblant de me crisper, de me braquer, j’étais prête à tous les abandons… Mais les mains se retirèrent, vite, trop vite, et je n’osai protester. J’étais à bout de souffle. « Je vous en prie, Franck, dis-je en me retournant vers l’auteur de mes tortures, j’ai vraiment besoin de m’asseoir… » Cherifa et Hélène s’étaient hâtées vers moi, et me conduisirent, en me soutenant par les bras, au lit de Franck, sur lequel je m’allongeai… Un silence lourd régnait dans l’appartement. Hélène, avec une douceur extrême, passait sa main dans mes cheveux. Cherifa, elle, prit l’initiative de m’ôter mes sandales, ce qui était logique, mais elle fit en outre un geste que je n’aurais jamais pu prévoir : elle se mit à m’effleurer timidement les pieds, ce que j’aime par-dessus tout. Comment ces jeunes gens savaient-ils, presque d’instinct, tous les gestes et les caresses qui me bouleversent ? Est-ce cet incroyable sentiment de bien-être que j’éprouvai par les mains ingénues de Cherifa et d’Hélène, ou le contrecoup de l’expérience que je venais de vivre sous les mains désirantes de Franck et de Stéphane, ou encore les deux ensemble ? Toujours est-il qu’au bout de quelques minutes, et sans qu’une seule parole ait été prononcée, j’éclatai en sanglots. J’eus honte de cet instant de faiblesse. Quoi ? J’étais l’aînée de ce groupe, j’avais dix ans de plus qu’eux, ils avaient pour moi de ...
«12...567...»