Entorse à la morale
Datte: 13/02/2018,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
jeunes,
médical,
handicap,
complexe,
laid(e)s,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
ecriv_f,
... d’une quinzaine de jours : — Lyvia, accepteriez-vous de me rendre un petit service ?— Un service, quel service ?— J’aimerais voir vos seins.— Vous êtes fou, vous n’y pensez pas !— Non je suis sérieux, j’aimerais savoir si une femme est encore capable de me faire de l’effet.— Mais vous n’avez pas une amie, une copine, qui pourrait vous rendre ce petit service ?— Je leur ai téléphoné, mais aucune d’entre elles ne vient me voir, ce doit être en raison de mon état. Je vis des larmes couler sur ses joues. Il était touchant. Quant à ces filles-là, c’était des dégueulasses. Laisser tomber un copain juste parce qu’il était infirme… Pour ma part, je crus utile de me justifier : — Ecoutez, je ne suis pas belle et mes seins sont vraiment atroces. Alors, pourquoi seriez-vous excité par quelqu’un qui n’excite personne ?— C’est à votre tour de dire des bêtises ! Je ne connais aucune femme qui ne soit pas un tant soit peu excitante. Certaines sont vraiment canons, d’autres sont beaucoup moins belles, mais toutes ont un certain charme, y compris vous. J’ai connu beaucoup de filles et toutes n’étaient pas des top models, loin s’en faut. Cela ne m’a pas empêché de bander pour chacune d’elles et de leur faire l’amour. Les seules fois où je ne bandais pas, c’est quand j’étais bourré ou malade. Tenez, même avec la voisine… Ah, si vous connaissiez la voisine ! Elle est encore pire que vous ! Merci pour le « encore pire que vous », ça fait toujours plaisir. J’ai accusé le coup. Je savais qu’il ...
... n’y avait pas de méchanceté dans ses propos, c’était plutôt de la maladresse. — En tout cas, il n’est pas question que je vous montre ma poitrine, je suis quand même votre infirmière et j’aimerais que nous en restions là et que nous ne parlions plus de ça. Mais deux jours plus tard, il remet ça sur le tapis : — Lyvia, vous n’êtes pas très sympa. Qu’est-ce que ça vous coûte, de me montrer vos seins ? Je ne suis quand même pas le premier à les avoir vus ! J’avoue que c’est le « quand même pas le premier » qui m’a piquée au vif. Mais pour qui il me prend, ce gringalet ! — Et si je vous les montre et que ça ne vous fait pas bander ? Ca va encore vous faire du mal ! Vous allez vous torturer l’esprit, ça va encore être bien pire.— Allons, montrez-les-moi, on verra bien après ! J’ai de nouveau refusé. Il s’est mis à pleurer à chaudes larmes, comme un petit mouflet. J’ai essayé de le consoler, mais sans résultat, il me faisait mal au cœur. Toute la soirée, j’y ai repensé. C’est vrai qu’au fond, ça ne me coûtait pas grand-chose de lui montrer ma poitrine. Comme tout le reste de mon corps, elle n’était pas jojotte, tombante, en poire, avec des seins qui pointaient désespérément vers le bas, ils étaient tout aussi ridicules que l’ensemble de mon enveloppe charnelle. Je venais de prendre ma douche et j’étais en train de me regarder dans la glace, ce que je faisais d’ailleurs rarement, et je ne voyais vraiment pas ce que l’on pouvait trouver d’excitant à tout ça. « Arrête de penser à ça.Si ...