Entorse à la morale
Datte: 13/02/2018,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
jeunes,
médical,
handicap,
complexe,
laid(e)s,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
ecriv_f,
... qu’est-ce qu’il peut bien lui trouver ? » — Lyvia, et si vous veniez demain sans soutien-gorge ?— Lyvia, le pied pour moi, ce serait que vous soyez seins nus sous votre chemisier pendant que vous me faites mes pansements.— Lyvia, j’imagine vos seins en train de bouger sous votre chemisier. Je vous imagine complètement débraillée, j’entrevois vos lolos libérés de toute entrave. « Ca suffit !Mais qu’est-ce qu’ils lui ont fait, mes seins ?Pourquoi cette fixation ? » Il me confiait toutes ses idées, il envisageait diverses situations qu’il jugeait excitantes, des instants de pur délice où il pourrait voir ma poitrine à moitié nue. Son obsession avait changé, son obsession ce n’était plus sa queue molle mais mes lolos à moitié nus. « Hors de question, hors de question, hors de question.Inutile d’insister, je n’irai pas plus loin. » Je ne sais trop quel démon m’incita à faire fi de la raison. Je me suis arrêtée dans un petit chemin et j’ai retiré mon soutien-gorge avant d’enfiler une blouse. « Tu es complètement folle, ma fille. » Pourvu qu’elle ne soit pas en plus transparente ! Mais non, elle ne l’était pas, j’avais déjà vérifié. Mais en pénétrant dans la ferme, je n’en étais plus si sûre. Et là, dans cette salle commune, avec toute cette lumière crue, sous le regard des deux parents et du fils cadet… Pourquoi ce sourire chez le père ? Avait-il remarqué quelque chose, était-il en train de me déshabiller du regard ? J’étais très mal à l’aise. J’ai écourté la conversation. Je me ...
... suis dirigée vers la chambre de Gabriel. Et, tout en refermant la porte derrière moi, je me suis arrangée pour dégrafer discrètement les deux boutons du haut. Je crois qu’il ne l’a pas tout de suite remarqué. Il était concentré sur sa télé. Ce n’est que lorsque je me suis penchée vers lui, pour lui faire son pansement, qu’il a entraperçu quelque chose d’inhabituel. D’ailleurs, il a immédiatement coupé le son et j’ai tout de suite su qu’il me regardait. Au gré de mes mouvements, je devais avoir les seins qui balançaient. Je ne sais trop pourquoi, mais le fait d’imaginer ses yeux rivés sur ma poitrine, ça m’a tout de suite excitée. D’habitude, le regard des autres me fait pourtant fuir, mais cette fois-là, non, pas du tout, au contraire. J’avais l’impression d’être un objet sexuel, un objet de désir, j’avais rarement ressenti quelque chose comme ça auparavant. Peu à peu, les pointes de mes seins se sont mises à durcir. Elles frottaient contre le tissu, ça m’excitait encore plus. « Non, non, arrête, c’est ridicule, arrête de t’exhiber comme ça devant cet obsédé. » J’ai mis un temps infini à parfaire son pansement. Quand enfin j’ai relevé la tête, je n’ai pas osé affronter son regard. Aucun mot n’avait été échangé, je m’apprêtai à partir : — Et ce soir, je n’ai pas le droit de les voir, ces beaux lolos ?— Mais vous avez déjà tout vu.— Entrouvrez votre blouse, j’aimerais quand même les regarder. Docilement, j’ai j’obtempéré. J’ai dégrafé tous les boutons et écarté gentiment les pans ...