Entorse à la morale
Datte: 13/02/2018,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
jeunes,
médical,
handicap,
complexe,
laid(e)s,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
ecriv_f,
... de ma blouse. — Lyvia, je vous trouve hyper excitante comme ça. Dommage que je ne puisse plus bander, sinon je vous aurais trouvée très à mon goût. (Ce qui me fit rougir, j’étais, mal à l’aise, je savais en mon for intérieur que j’avais eu envie de lui, c’était mal, il fallait que je me ressaisisse). Sur le chemin du retour, pour la première fois de ma vie, je me suis masturbée en conduisant, comme si ça ne pouvait pas attendre que je sois rentrée à la maison. « Tu files un mauvais coton, ma fille, ça va se terminer très mal. » Les jours qui suivirent, je lui ai refait plusieurs fois mon numéro, tantôt nue sous une blouse ou alors nue sous un chemisier. Je venais un peu plus tard, profitant du fait que ses parents étaient, en général, scotchés devant la télé. Ça m’évitait de les rencontrer. Je ne voulais pas qu’ils finissent à la longue par se poser des questions. Désormais, je prenais un réel plaisir à ces exhibitions et, malicieusement, je m’arrangeais pour qu’elles soient sans cesse plus coquines. C’était notre petit secret et je crois que nous étions aussi friands l’un que l’autre de ces moments privilégiés. Personnellement, j’y repensais le soir, je me caressais assez souvent, et parfois dans la voiture. C’était pure folie. J’avais envie d’aller plus loin. « Arrête, je t’en prie, arrête ce jeu stupide pendant qu’il en est encore temps.Tu es complètement folle ! ». J’avais envie de me laisser toucher et j’avais envie de tout lui montrer. Je ne me reconnaissais pas. De ...
... ma vie, je n’avais jamais éprouvé autant de désir pour un homme. C’est sans la moindre hésitation, mais avec une grande peur au ventre que je lui fis mon premier strip-tease intégral. Mes hanches étroites, mes fesses trop plates, mes cuisses ridiculement fines, mes genoux osseux, tout y passa. Ridicule, il allait me trouver ridicule. Je suis néanmoins restée quelques instants entièrement nue devant lui, avant de remettre ma blouse et de me sauver comme une voleuse. Il faisait nuit dehors, personne ne me remarqua. Le lendemain matin, j’eus droit à tous ses commentaires : — Je ne vois pas pourquoi vous vous trouvez laide, Lyvia. Vous êtes seulement différente des autres femmes, mais c’est cela qui fait votre charme. Moi je vous trouve hyper-bandante, hyper-excitante, je ne me lasse pas de voir votre nudité. Et je rêve déjà d’être à ce soir, quand vous allez me montrer à nouveau vos seins, quand vous allez me montrer vos fesses, quand vous allez me montrer votre joli sexe. La seule chose que je regrette, c’est de ne pas pouvoir bander, c’est de ne pas pouvoir vous montrer à quel point je vous trouve désirable. Continuez, Lyvia, continuez à me dévoiler vos charmes, continuez à être sensuelle, continuez à être coquine. C’est ce que j’ai fait, j’ai continué… pendant un mois encore. J’étais de plus en plus osée, de plus en plus sexy, de plus en plus chatte, de plus en plus excitée. Ma coquinerie n’avait plus de limite. Je m’étais même acheté des dessous plus affriolants. Je n’avais ...