L'apprentie
Datte: 24/02/2018,
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... crois, rien de cela ne t’est encore arrivé, et tu n’as même jamais été excitée : alors ma queue risque, les premières fois, de te faire mal et de te faire saigner… Pourtant, je te supplie de me faire confiance et de te laisser aller : car je suis sûr que tu es la compagne que j’ai si longtemps cherchée. Ma jolie petite oie blanche, je suis persuadé, intimement, que tu es en réalité faite pour le sexe, pour l’amour, autant que je le suis. Je crois que tu es mon pendant féminin que, comme moi, tu as un besoin physique de baiser très souvent, tu n’aimes que le plaisir et es faite pour cela. Simplement, tu ne le sais pas encore… À moi de t’initier, de t’apprendre le désir, de t’apprendre à aimer ton corps, et le mien… Es-tu d’accord ? J’étais violemment émue : oui, je désirais qu’il m’initie, oui, je l’aimais si follement ! Mais j’étais si ignorante ! Par exemple, je me sentais ridicule, car toutes les filles savaient désormais tout sur l’amour, mais moi non, et je comprenais à peine ce que voulait dire « doigtée », « pine » ou « con » ? Vladim riait de mon ignorance, et pour chaque mot inconnu, il m’expliquait « concrètement » sa signification. Par exemple, il me fit asseoir sur ses genoux, retroussa la jupe de ma robe, découvrit le petit slip de satin blanc orné de nœuds d’argent qu’Edmonde avait brodé sur moi et, passant la main dedans, il fit glisser son doigt du haut en bas de la fente de mon sexe, : il s’attarda surtout à un certain endroit, qui me faisait frissonner ...
... chaque fois qu’il le touchait : c’était, me dit-il, mon clitoris, ou bouton d’amour, qui était un des sièges principaux de la volupté, chez la femme Au bout de quelques minutes de ce va-et-vient de cette main qui s’enfonçait dans ma toison, et caressait tendrement ce que Vadim appelait « mon mont de Vénus » ou ma « motte », je compris que Vladim avait raison : je n’étais évidemment pas frigide, et je ressentais enfin ce que le mot « désir » voulait dire ! Pendant que ses doigts faisaient le tour de ce que j’apprenais être mes « grandes lèvres », mon sexe était devenu brûlant et humide. Vladim m’embrassait le cou, tournait ma tête vers lui pour me prendre la bouche, et enfonçait sa langue entre mes dents, entre deux caresses et deux explications. Par exemple, il m’apprit que moi aussi je pouvais faire agir ma propre langue, et le plaisir du baiser était renforcé par nos deux salives mêlées, nos caresses buccales… Enfin, tout doucement, et pendant que nous embrassions à pleine bouche ce qui augmentait encore et encore mon trouble, je sentis qu’un de ses doigts pénétrait dans ma cavité la plus intime, ce vagin que Vladim appelait « ton tendre petit con ». Il tourna lentement son index puis bientôt, remarquant tout haut, avec plaisir, que je semblais non seulement douée, mais que je mouillais comme une « vraie » femme, il fit pénétrer aussi le majeur, et je ne pus m’empêcher de gémir. — Tu vois, me dit-il alors en riant, c’est cela, « être doigtée ». Est-ce que j’aimais ça ? Je dus ...