Brocante, caresses et photos numériques
Datte: 01/03/2018,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
cérébral,
revede,
photofilm,
odeurs,
Masturbation
Oral
pénétratio,
jouet,
jeu,
mélo,
amourdura,
... avais donné l’adresse de l’acupuncteur. Juste à côté se trouvent quelques objets dont les formes invitent au toucher. J’y laisse courir mes mains. En fermant les yeux, j’imagine mes doigts parcourant son corps. Les souvenirs que j’ai de la douceur de sa peau remontent agréablement en moi. Je me laisse à nouveau guider par les flammes vacillantes des bougies. Elles conduisent à une petite terrasse. Sans autre précision sur ce que mon hôtesse attend de moi, je prends le temps de profiter du jeu des lumières de la ville en contrebas. Au moment où la dernière bougie s’éteint, Véronique me rejoint enfin. Sans mot dire, elle entoure ma taille de ses bras et se serre contre mon dos. Nous restons longuement enlacés, immobiles, silencieux. Puis elle glisse ma main entre les siennes pour me guider vers sa chambre. Là, elle prend tout son temps pour me déshabiller, avant de se dénuder à son tour et de se coucher sur son lit. Je m’allonge tout contre elle. Collés l’un à l’autre, nous commençons à nous parcourir du bout des doigts. Suivant le désir de Véronique, nous nous contentons de cet unique moyen de découverte pour trouver des réponses à nos interrogations. Ainsi la main de Véronique s’attarde-t-elle sur la longue cicatrice que m’a laissée ma mésaventure à l’hôpital, pendant que je parcours les méandres de son corps, à la recherche de réticences à apaiser ou d’impatiences à satisfaire. Ma virilité se manifeste sans réserve dès le début de ce dialogue sensuel. Ce qui représente pour ...
... moi une agréable et rassurante sensation, compte tenu des défaillances que les abus de toutes sortes m’ont infligées ces dernières années. Entre les bras de Véronique, je n’éprouve cependant aucune impatience. Ceci d’autant plus, qu’après une aussi longue abstinence, je ne suis pas sûr d’être vraiment maître de mes pulsions. Je ne me prive certes pas, au gré d’une ondulation de son corps, de glisser ma queue raidie entre ses fesses ou contre son ventre. Mais c’est plus en hommage pour le désir qu’elle m’inspire, qu’à la recherche d’un épanchement libérateur. Nous trouvons d’ailleurs rapidement d’autres manières, toutes aussi sensuelles, de nous pénétrer. Je redécouvre à quel point Véronique est redoutablement habile de ses dix doigts, et me laisse fouiller corps et âme avec délectation. Rassurée sur ma capacité à m’adapter à la lente progression de son envie, elle s’épanouit sous mes caresses. Son esprit, ses sens, son cœur la mettent en désir, de la pointe des seins jusqu’au fond de son ventre. Le besoin d’une autre forme de partage se fait alors progressivement sentir. Nos gestes deviennent plus précis, nos caresses se concentrent sur les plus voluptueux lieux du corps, nous glissons l’un contre l’autre à la recherche de contacts plus étroits. Enfin, après avoir pris le temps de faire la tendresse, nous nous laissons aller à faire l’amour. C’est Véronique qui me montre le chemin, en basculant son bassin à la rencontre du mien pour m’emprisonner au fond de son ventre. Après ...