La boutique
Datte: 01/03/2018,
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... perdre la raison. Elle allait la châtier, la jeunette. Elle enviait, depuis qu’elle l’avait recruté, sa chevelure rousse, bouclée, abondante, ses formes pleines d’une souple jeunesse, son avenir. Elle allait lui faire payer cette culture universitaire qui la mettait souvent au-dessus d’elle, elle, sa patronne. Schlliiik ! — Hummmmm ! Oui Madame. Valérie l’écoutait. Mais elle ne bougeait pas. Elle attendait le retour de la langue de cuir sur sa peau. Schlliiik ! Schlliiik ! Un coup sur chaque cuisse. — Écarte-les !— Oui Madame. Valérie obtempéra largement. Schlliiik ! Schlliiik ! — Encore ! Une larme, de plaisir, coulait sur la joue de Valérie : — Oui Madame, comme vous voudrez. Françoise posa le cuir sur le pubis de Valérie et caressa, du bout de la cravache, l’entrejambe de son employée. — Que faisais-tu ? Schlliiik ! sur la fesse, de nouveau. — Je me donnais du plaisir, Madame.— Que t’avais-je dit ? Schlliiik ! — Hmm ! De ne plus recommencer, Madame.— Alors quelle sera ta punition ? Schlliiik ! — Donner du plaisir à Madame ? S’il vous plaît ! Valérie était implorante. Ses grands yeux verts étaient mouillés de larmes. La fente de la jeune femme luisait. Schlliiik ! — Tourne-toi ! Françoise constata que Valérie était une vraie rousse. Un filet de toison orange dessinait un "V" au-dessus de son bouton. Couchée sur le dos, Valérie avait conservé les jambes écartées. Françoise glissa la cravache sur chaque trait de poil, du haut vers le bas, laissant la languette traîner sur ...
... les chairs roses. Valérie ne parvenait pas à contrôler parfaitement les mouvements de son bassin qui roulait légèrement sous les caresses, en appelant d’autres. Schlliiik ! La cravache laissa une marque rouge sur l’aine, Valérie laissa échapper un cri. — Ouhi Mahdahhhme ? Françoise aurait aimé se mettre à genoux et aller manger cette rose délicate qui palpitait entre les jambes de Valérie. La faire crier en la possédant. Mais le moment n’était pas venu. Elle devait profiter de cette esclave consentante. — Caresse-toi ! Les mains de Valérie plongèrent instantanément vers son sexe. Elle allait se terminer vit… Schlliiik ! Schlliiik ! Schlliiik ! Les coups arrêtèrent les doigts. — Caresse-toi la poitrine. Et seulement la poitrine. À contrecœur, Valérie posa les mains sur son ventre et dégrafa les boutons de sa chemise blanche en remontant. Elle en écarta les pans et débuta sa caresse au travers du tissu de son soutien-gorge triangle. Elle mourrait d’envie de redescendre, de plonger les doigts vers son clitoris et de le malmener lui aussi. Françoise laissa tomber sa jupe à ses pieds. Elle n’avait pas remis de culotte depuis le show qui avait attiré Bertrand entre ses jambes. Elle se glissa hors de son chemisier sans prendre soin de retirer les derniers boutons. Simplement vêtue de sa guêpière de résille noire qu’égayaient quelques insectes rouges, oranges et jaunes dans un flamboiement de dentelles et de bas à jarretières rouge, elle tendit la main pour baisser l’éclairage à ...