1. Véronique


    Datte: 11/07/2017, Catégories: f, fh, grossexe, fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation rasage, Oral fdanus, fsodo, sm, historique, fantastiqu,

    ... dessous de la fenêtre, tu gagneras une pièce d’or, mais à condition d’avoir été sage. La nuit ne compte évidemment pas, puisque nous ne dormirons pas vraiment ensemble.— Vous comptez vraiment que je reste aussi longtemps ? répliqua Véronique.— Tu peux partir quand tu veux, mais si tu le fais, tu partiras les mains vides. Véronique ne répliqua rien. Elle allait moucher ce noble arrogant. Oui, elle sortirait d’ici avant le soir et la bourse pleine de la récompense promise. — À chaque fois que tu te comporteras mal, tu n’auras pas la pièce pour l’heure passée. Est-ce clair ?— Très clair, Monseigneur et Maître.— Bien, ton dressage commence à porter ses fruits, petite chienne. Véronique serra les dents pour ne pas répondre. Il testait ses nerfs et elle comptait bien lui montrer qu’elle était la plus forte. — Maintenant, je te propose un nouveau défi. Je pense que rien ne te fait peur, hum ? Véronique lui envoya un regard noir pour toute réponse. Le noble sourit puis lança : — L’inverse du défi précédent. Je te parie une pièce d’or que je peux te faire jouir juste avec la bouche. Véronique ouvrit de grands yeux. Cela, elle ne s’y attendait pas du tout. Elle baissa les yeux, cherchant à comprendre. Elle avait souvent donné du plaisir, mais elle ne l’avait jamais reçu et jamais la bouche d’un homme ne s’était posée ailleurs sur elle que sur son cou et sa nuque, ayant toujours refusé le baiser à ses amants de passage. Elle releva les yeux vers lui, cherchant une aide qu’elle savait ...
    ... pourtant pertinemment ne pas y trouver. Le noble lui envoyait un regard totalement neutre. Elle tourna ces pensées dans sa tête. Était-ce vraiment possible de la faire jouir juste avec la bouche ? Elle se touchait parfois, et le plaisir était souvent au rendez-vous, mais c’était son corps, elle le connaissait. Comment pourrait-il l’amener à jouir sans la connaître ? Arriverait-il à la faire décoller simplement en usant de ses lèvres et de sa langue ? Elle le regarda avec profondeur. Il semblait si sûr de lui, si arrogant. Il avait dû faire cela de nombreuses fois pour être aussi imbu de sa personne. Les autres femmes avaient dû accepter et s’en mordre les doigts mais elle était plus forte qu’elles. Elle n’était pas une petite paysanne timide. Elle était une aventurière, ayant déjà connu les choses du sexe même si la pénétration finale était réservée à son futur mari. Elle hésita un long moment, pendant lequel le noble ne la brusqua pas. Il se contenta de la regarder en débattre avec elle-même dans le plus grand silence. Finalement, elle lança : — D’accord, Monseigneur et Maître. Le visage du noble se couvrit instantanément d’un grand sourire. — Allonge-toi sur le lit, les jambes écartées.— Vous n’avez jamais dit qu’il fallait que je change de position, Monseigneur et Maître, précisa Véronique.— Tout comme j’aurais pu ne pas détacher mes braies pour te laisser accéder à ma queue et tu aurais été dans l’incapacité, vu l’attache, de le faire avec les dents. Véronique lui céda ce ...
«12...91011...28»