Véronique
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
f,
fh,
grossexe,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
rasage,
Oral
fdanus,
fsodo,
sm,
historique,
fantastiqu,
... point. Elle obéit donc en grommelant. Elle s’étendit sur le lit soyeux sur lequel était posée une lourde et chaude couverture. Véronique n’avait jamais eu l’occasion de dormir dans un tel lit. Ceux des auberges n’étaient pas trop mal mais cela n’avait rien à voir avec cette merveille. Elle serait bien restée là toute la vie si ça n’avait été les circonstances. — Écarte plus les jambes, ordonna-t-il et elle obtempéra, se préparant mentalement à penser à toutes sortes de choses horribles. Elle comptait bien en effet tout faire pour ne pas jouir : penser à un cadavre, à la mort de sa mère, à celle de son père, aux nombreuses fois où elle s’était retrouvée dans la panade après un coup manqué. Elle sentit son souffle chaud sur ses pieds. Il commença à les lécher doucement, gobant ses orteils puis remonta sur sa cheville gauche, son mollet, atteignit son genou, continua sur sa cuisse, passant de l’intérieur à l’extérieur avec douceur, parfois, baisant, parfois suçant, parfois léchant. Véronique fermait les yeux, tentant de faire abstraction des doux attouchements. Le noble passant sur le bord extérieur de sa cuisse pour atteindre ses hanches, remonta le long de ses côtes pour atteindre son aisselle et remonter sur son bras gauche écarté. Il s’occupa de son biceps, puis lécha furtivement l’intérieur de son coude, amenant un frisson que Véronique fut incapable de maîtriser. Elle avait fermé les yeux pour ne pas voir la scène et se concentrer sur les viscères du cadavre qu’elle ...
... faisait tout pour se représenter mais avait de plus en plus de mal à ne pas ressentir la douceur des lèvres du noble sur son corps. Il était doué pour réveiller chaque zone nerveuse de son corps. Après avoir atteint ses doigts qu’il avait sucés en imitant lascivement le geste de pénétration, il remonta le bras en sens inverse et arriva à sa nuque. Ses baisers dans son cou et sur ses lobes d’oreille firent gémir Véronique qui dut lutter de plus belle pour oublier les caresses. De plus en plus, ses pensées dérivaient. En lieu et place des cadavres, elle voyait d’anciennes connaissances : des hommes des caravanes de forains avec leurs corps d’athlètes et leurs regards séducteurs. Elle avait de plus en plus de mal à retenir son plaisir et ouvrit les yeux lorsqu’elle se rendit compte qu’il l’embrassait à pleine bouche alors qu’elle avait toujours refusé cela à tous ses amants. Elle détourna la tête, rompant le baiser et il ne se plaignit pas, continuant simplement en passant au côté droit, comme si la bouche n’avait été qu’une étape dans la découverte de son corps morceau par morceau. — Je ne vous avais pas… fait cela ! s’exclama Véronique, sentant qu’elle commençait à perdre.— Rien ne te l’interdisait. Il t’aurait suffi de me demander de me dévêtir. Ça ne m’aurait pas gêné. Tiens, d’ailleurs, regarde. Il ôta sa veste de soie, dévoilant un corps sublime. Véronique n’en sentit que plus son cœur battre et sa respiration s’accélérer. Il connaissait ses qualités et en jouait à merveille. ...