Véronique
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
f,
fh,
grossexe,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
rasage,
Oral
fdanus,
fsodo,
sm,
historique,
fantastiqu,
... regagna sa place à l’autre bout de la baignoire alors que le noble, les yeux clos, semblait simplement savourer l’instant présent. Véronique fit de même, souriant à l’ironie de la situation. Elle ne pensait pas qu’elle aurait pu apprécier et pourtant, à la maîtrise de la situation, elle était parvenue à prendre un sacré plaisir et cela sans perdre la face devant le seigneur qui ne s’était rendu compte de rien. Véronique finit de se laver puis sortit de l’eau et se sécha. Le noble ne l’en empêcha pas. Il ne la regarda même pas. Il sembla un instant à Véronique qu’elle n’existait même plus puis le noble souffla, les yeux toujours clos : — Puisque tu es sortie, fais-moi donc apporter à boire et à manger. Il suffit de tirer la cordelette bleue deux fois. Véronique obéit et rapidement, un serviteur entra et posa sur une petite table qu’il posa près du seigneur toujours immergé un plateau recouvert de nourriture. Le noble se servit en vin et fruits sans accorder le moindre regard à Véronique. Après un temps que la jeune femme trouva particulièrement long bien qu’il ne dut pas durer plus d’une quinzaine de minutes, le noble sortit de sa torpeur, se sécha seul, s’avança vers le lit sans la moindre pudeur malgré sa nudité, referma les rideaux entourant le lit à baldaquin avant de disparaître à l’intérieur. Véronique resta ainsi seule, livrée à elle-même un bon moment, avant de décider de se coucher sur un des tapis moelleux sur le sol. Elle avisa une couverture pliée sur le sol et ...
... s’en recouvrit, se disant qu’elle devait probablement être là pour elle. Le lendemain, elle s’éveilla lorsque le soleil éblouit son visage. Un serviteur venait d’ouvrir les rideaux. Elle se redressa. Les tentures recouvrant le lit à baldaquin étaient encore closes, donc, le seigneur devait encore être là. Elle entendit remuer puis elle entendit : — Une pièce d’or si tu attaches les rideaux et que tu m’apportes mon petit-déjeuner au lit. Véronique se leva immédiatement et entreprit d’obéir. C’était de l’argent bien facilement gagné ! Le noble ne se priva pas de mater son corps nu, bougeant et se dévoilant à chaque fois que Véronique levait les bras pour attacher le rideau en hauteur, mettant parfois un genou sur le lit pour s’aider. Véronique lui apporta ensuite le plateau qu’un serviteur devait avoir apporté, remarquant dans le même temps que la bassine ayant servi de baignoire avait disparu et que le sol était propre. Les serviteurs qui étaient venus nettoyer pendant la nuit savaient être furtifs, c’était certain. — Tiens, voilà pour toi. Il lui tendit deux pièces d’or. — Il en manque une, fit remarquer Véronique.— Ah bon ? Et pourquoi donc ?— J’ai été gentille, hier, il me semble. Vous m’avez promis une pièce d’or par heure de gentillesse.— Non, je t’ai promis une pièce d’or par heure de docilité et d’obéissance. Or, je t’ai demandé de m’appeler Monseigneur et Maître, et tu ne le fais pour ainsi dire jamais. Tu ne mérites pas cette récompense. Véronique eut l’impression de ...