Véronique - Histoires de Sexe

Véronique

... fumer de rage. Tout ça pour un malheureux titre ! Elle ne se plaignit toutefois pas, se contentant des deux pièces logées au creux de sa main. — Je te parie une pièce d’or que tu n’arrives pas à me faire jouir, même avec les mains, annonça soudain le noble.— Je vous parie deux pièces d’or que j’y arrive sans les mains, proposa Véronique en retour. Le noble la regarda en haussant un sourcil. Il semblait surpris. Il ne s’attendait probablement pas à ce qu’elle soit joueuse à ce point. — D’accord, libre à toi de désirer perdre l’argent que tu viens de gagner. Elle sourit en le libérant des couvertures sous lesquelles il ne portait rien et commença à le lécher comme il l’avait fait avec elle. Pendant toutes les caresses, toutes les succions, tous les coups de langue, et ce où qu’ils soient placés, le noble resta de marbre, se contenta d’avaler ses raisins et son pain épicé avec une sorte d’ennui évident. Sa verge s’était à peine dressée et Véronique en était verte de rage. Elle avait tout donné et l’effet était nul. — Je pense que tu dois me redonner tes gains, finit par annoncer le noble. Véronique le lui donna, dégoûtée et le noble se leva, s’habilla, puis quitta la pièce, laissant Véronique seule avec sa fureur. Il revint un peu après le déjeuner. — J’ai envie que tu me suces, annonça le noble sans préambule à la seconde où il fut entré. Sauf que cette fois, j’aimerai bien jouir parce que j’en ai un peu assez de tes talents inexistants. Si tu veux gagner une pièce d’or, il va ...

... falloir faire ce que je te demande.— Bien, Monseigneur et Maître, répondit Véronique, heureuse de pouvoir enfin savoir ce qui faisait décoller le seigneur. Elle s’approcha de lui à quatre pattes. Elle comptait bien en effet gagner sa pièce d’or pour docilité, cette fois. Elle se plaça à genoux devant lui alors qu’il lança : — Déjà, tu vas baver davantage. C’est pas mal, on voit que tu n’es pas une néophyte, mais ce n’est pas encore assez. Laisse la salive couler, ce n’est pas grave. Véronique hocha la tête. — Vas-y, commence, tu peux sucer tout en écoutant, et je peux parlant tout en étant sucé. Véronique obéit et prit le sexe à demi mou du seigneur en bouche. Elle savait où lécher, juste sous le gland et alternait les phases lentes et rapides, de succion ou de léchage, comme pas mal d’hommes lui avaient appris à le faire. Elle fit donc son possible et le résultat fut que le sexe gonfla, certes, mais pas autant qu’elle l’aurait désiré, ni qu’il était censé le faire dans cette situation. — Bien, maintenant, dit le noble, tu vas prendre mon sexe entièrement en bouche. Je veux que tes lèvres touchent mon ventre.— C’est impossible, Monseigneur et Maître, dit Véronique en se retirant.— Ça sera désagréable pour toi, mais pas impossible. Allez, obéis ! Elle le reprit en bouche et s’essaya à l’avaler davantage. Lorsque le gland toucha le fond de sa gorge, une nausée lui fit faire un mouvement de recul. — Décontracte-toi et laisse venir les spasmes. Arrête de respirer un instant. Tu ...