Véronique
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
f,
fh,
grossexe,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
rasage,
Oral
fdanus,
fsodo,
sm,
historique,
fantastiqu,
... vas voir, ça se fait tout seul. Plus facile à dire qu’à faire ! Pensa Véronique. Elle le reprit tout de même et se força à l’avaler. Elle y parvint, se surprenant ainsi elle-même et pensa à nouveau que le seigneur avait eu raison de dire qu’elle louerait la petite taille de son sexe. Ainsi, il y en avait moins à avaler. Sous les spasmes amygdaliens, le sexe du seigneur grossit rapidement. Véronique entama un va-et-vient lent, alternant gorge profonde et simple succion et rapidement, le seigneur se mit à trembler et souffla d’une voix rauque : — Tu avales bien tout ! La seconde suivante, Véronique recevait une première giclée, puis une seconde et enfin une troisième, qu’elle parvint à avaler. Elle l’avait déjà fait et bien que ça ne lui fut pas particulièrement plaisant, elle obéit assez aisément. Il se retira puis se rhabilla, apparemment satisfait. Véronique, elle, était contente car elle saurait maintenant comment faire réagir le noble et n’en gagnerait que plus d’argent. Il lui tendit la récompense promise puis souffla : — Tu veux en gagner une autre ?— Volontiers, Monseigneur et Maître.— Je veux te voir jouir, mais sans que j’ai besoin d’intervenir, lança-t-il alors. Véronique en rougit de la tête aux pieds. C’était la première fois qu’elle se caresserait devant quelqu’un et elle sentit une pudeur qu’elle ne se connaissait pas monter en elle. Elle se reprit rapidement et considéra l’offre. Il lui proposait de l’argent en échange de son plaisir à elle, sans aucune ...
... brutalité. Elle hocha la tête, ravie de cette proposition. Elle se coucha d’abord sur le tapis moelleux puis, considérant la pièce d’or qu’elle tenait en main, fit un geste pour la poser au sol et ainsi être plus libre de ses mouvements. — Non, toute pièce que tu poses n’est plus à toi. Tes gains restent sur toi, où tu en perds la possession.— Mais, Monseigneur et Maître, que suis-je censée en faire ? s’exclama Véronique.— Je m’en moque, tu te débrouilles. Véronique mit la pièce dans sa bouche, contre sa joue gauche, ses dents l’empêchant d’entrer plus en avant et s’installa confortablement. La pièce ne la dérangeait pas plus que cela. Une fois étendue, elle commença à se caresser les seins sous le regard satisfait du noble. Elle ferma les yeux et s’imagina avec ses beaux forains. Ces mains caressant sa poitrine, la malaxant, la tordant, jouant avec ses tétons étaient les leurs. Ce doigt massant avec douceur ses lèvres intimes n’était pas le sien, mais celui de ce beau jeune homme, rencontré par hasard dans une auberge et à qui elle avait offert une pipe mémorable sous la table du petit établissement peu fréquenté. Elle revit ensuite cet orgasme muet qu’elle avait eu avec le seigneur, ignorant ce qui se tramait juste devant – ou plus exactement sur – lui, la veille au soir. Rapidement, le plaisir monta tandis que son petit bout de chair rose gonflait et se dressait sous ses caresses. Lorsqu’elle le pinça doucement, son ventre se crispa et des spasmes l’envahirent alors qu’elle ne ...