Véronique
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
f,
fh,
grossexe,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
rasage,
Oral
fdanus,
fsodo,
sm,
historique,
fantastiqu,
... vous écoute, Monseigneur et Maître, répondit Véronique, toujours prête à se faire plus d’argent.— Je possède des esclaves. Ces pauvres hommes passent leur misérable vie dans les mines de fer et de charbon, voyant peu la lumière du jour, trimant du matin au soir. J’aimerai m’amuser un peu, sortir l’un d’eux de cet enfer pendant quelques heures. Il sera lavé, nourri, aura droit à du repos puis te sera amené. Là, tu devras lui faire une fellation en gorge profonde complète. Si tu y parviens, tu gagnes trois pièces d’or, ce qui t’amène à obtenir ta récompense en totalité. Dans le cas contraire, tu me donnes tous tes gains, c’est-à-dire tes sept pièces d’or. Ça te tente ? Véronique réfléchit. Où était le piège ? Le pauvre homme n’avait probablement pas vu de femmes depuis nombreux jours, voir plusieurs années. Il ne devait pas avoir beaucoup la possibilité de se masturber. Il allait donc probablement déborder de spermes. La croyait-il incapable d’en avaler une quantité importante ? — Je ne pense pas que tu vas faire quoi que ce soit contre sa volonté, rajouta soudain le noble. Tu sais, je pense qu’il sera plutôt heureux de se faire sucer par une jolie jeune femme nue et consentante. D’autant plus en sachant que ses potes sont en train de crever au fond d’un trou pour ma gloire. Véronique lui lança un regard noir. Oui, elle allait donner ce petit plaisir à ce pauvre esclave. Il méritait bien un peu de plaisir et puis, elle y gagnerait trois pièces d’or et moucherait ce sale noble ...
... arrogant. Le croyait-il vraiment incapable de faire cela ? Eh bien, il se trompait. — C’est d’accord, sortez ce pauvre homme de la mine.— C’est déjà fait, tu penses bien. Je l’ai sorti hier. Il a passé une journée complète à ne rien faire, à pouvoir manger et dormir à convenance, mais les mains attachées dans le dos, ce qu’il n’a pas compris d’ailleurs. Véronique sourit. Ainsi, il ne pouvait pas se masturber. — Il est prêt à recueillir ton don, continua le seigneur. Il attrapa une cordelette puis lança : — Tu es sûre ? Tu acceptes le pari ?— Oui, je suis sûre, Monseigneur et Maître, répondit Véronique. Le seigneur tira le bout de corde et quelques secondes plus tard, un serviteur entrait, ainsi que deux gardes qui escortait un prisonnier visiblement hagard, ne sachant pas ce qu’il se passait. Véronique sursauta en le voyant entrer. Cet homme avait la peau complètement noire. C’était un sauvage, un barbare. Elle envoya un regard noir au seigneur qui, lui souriait pleinement. — Merci messieurs, laissez-nous, dit le seigneur.— Mais, Majesté, dit l’un des soldats, cet esclave peut être dangereux…— Me croyez-vous incapable de protéger ma propre vie ? Sortez ! Ils sortirent alors que le prisonnier fixait intensément Véronique, nue, agenouillée devant le seigneur. Véronique lui rendit ce regard. Il était magnifique, ce prisonnier, avec ses muscles saillants et bien faits. Il ne portait qu’un simple pagne, couvrant à peine son sexe qui se dressait chaque seconde un peu plus sous la ...