Véronique
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
f,
fh,
grossexe,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
rasage,
Oral
fdanus,
fsodo,
sm,
historique,
fantastiqu,
... vision de la jeune femme sublime prosternée près de lui. Véronique voyait le pagne se gonfler doucement, de plus en plus, et un instant, elle eut peur que le pauvre homme n’éjacule rien qu’en la regardant. Elle ne le voulait pas. Elle devait lui faire une fellation profonde, et pour cela, il devait rester bien droit. — Puis-je, Monseigneur et Maître ? demanda Véronique.— Il est à toi, petite chienne. Amuse-toi bien, répondit le seigneur. Le prisonnier regarda, abasourdi, la jeune femme venir vers lui en marchant comme un animal, s’arrêter devant lui, à genoux, puis approcher ses mains de lui et soulever son pagne. Véronique cessa de respirer en voyant ce qui se cachait dessous. Elle n’en avait jamais vu d’aussi grosse et d’aussi longue et là, elle comprit. Elle envoya un regard noir au seigneur qui lui sourit en retour. Il avait gagné d’avance. Jamais elle ne pourrait avaler un tel monstre. Elle ne pouvait déjà presque pas engloutir le gland. Véronique sentit à nouveau de la fureur monter en elle. Elle pouvait dès maintenant déclarer forfait, elle avait perdu de toute façon. Elle regarda le pauvre homme qui ne comprenait rien. Elle ne pouvait pas le laisser ainsi, c’était criminel. Après un dernier regard noir vers le seigneur, elle entreprit d’enserrer dans ses mains l’énorme engin de l’esclave. Il gémit instantanément et ferma les yeux, profitant au maximum de ce merveilleux traitement. Elle le lécha mais ne tenta même pas de le sucer vraiment. Il y aurait fallu la largeur ...
... de trois bouches et la longueur de trois gorges pour l’engloutir. Rapidement, le jeune homme jouit et la semence la recouvrit presque entièrement tant elle était importante. Lorsqu’il fut vidé, le seigneur fit venir les gardes qui l’emmenèrent. De nouveau seuls, le seigneur souffla : — C’était bien ce que tu as fait. Tu aurais pu le laisser partir mais tu as décidé de finir le travail. Je ne l’aurai pas fait, à ta place.— C’est parce que vous êtes un salaud, répliqua Véronique en lui tendant ses sept pièces d’or.— Je ne vais pas saisir ces pièces dégoulinantes de mouille. Nettoie-les avant. Véronique se rendit vers la bassine. — Tu ne comptes pas salir mon eau avec tes pièces tout de même ? s’exclama le seigneur.— Mais ? répliqua Véronique. Le regard du noble était particulièrement clair. Il n’en était pas question. Elle comprit alors ce qu’il attendait d’elle et les mit dans sa bouche une par une, les nettoyant. Ensuite seulement, il accepta de les prendre en souriant puis sortit de la pièce, laissant Véronique, seule, dégoulinante de sperme et plus en colère contre elle-même que jamais. Elle venait de tout perdre, à cause d’un pari stupide. Elle était contente : au moins, ce prisonnier aurait vécu quelques heures de plaisir. Au moins, un malheureux avait gagné quelque chose à ce petit jeu. Comment avait-elle pu accepter ? Elle avait été si proche et il avait fallu qu’elle accepte ce pari idiot. Elle s’en voulait plus que jamais. Les jours passaient et elle n’avait toujours ...