1. Véronique


    Datte: 11/07/2017, Catégories: f, fh, grossexe, fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation rasage, Oral fdanus, fsodo, sm, historique, fantastiqu,

    ... doucement, avec langueur, tout en ne lâchant pas la vieille des yeux. Véronique adorait séduire et aguicher. Par son déshabillage érotique, elle espérait faire bander les soldats jusqu’à ce qu’ils en souffrent, ne pouvant atteindre aisément leur engin sous leur armure de cuir et mailles. Ça serait une maigre, mais bien réelle vengeance sur ces porcs qui, visiblement, n’attendaient qu’une chose : pouvoir se rincer l’œil. Elle se plaça de dos par rapport à eux, car elle savait que ce que les hommes aimaient le plus était d’imaginer. Il valait mieux sous-entendre que montrer. Le silence qui se fit alors qu’elle ôtait lascivement sa chemise de lin prouva qu’elle obtenait l’effet escompté. Elle pouvait entendre la respiration des gardes s’accélérer. Elle retira ses bottes, puis ses chausses, en prenant soin de bien montrer ses longues jambes. Enfin, elle délaça les nœuds retenant ses braies et les fit tomber. Lorsqu’elle eut terminé, elle se pencha pour ramasser les vêtements. Elle choisit volontairement de ne pas s’accroupir mais de se pencher, offrant ainsi sa croupe aux regards des soldats et, à leurs halètements, il était clair que le spectacle leur plaisait. Véronique posa les vêtements sur une commode. La vieille lui lança alors un regard peu plaisant. — Quoi ? s’exclama Véronique, que ce petit jeu, bien que plaisant par son côté sadique envers les gardes, commençait à ennuyer sérieusement.— Un bain ne vous ferait pas de mal. La vieille amena une bassine. Véronique ...
    ... secoua la tête mais ne répliqua rien. Si cela pouvait faire plaisir à cette vieille folle. Elle tenta de lui prendre l’éponge des mains mais la vieille refusa de la lâcher, répétant que c’était à elle de le faire, si bien que Véronique finit par laisser tomber et se laissa laver. Lorsqu’elle sortit de l’eau, sèche et propre, elle sembla enfin convenable aux yeux de la vieille. — Maintenant, vous êtes présentable, dit la vieille, visiblement fière d’elle. Les gardes vont vous amener à notre seigneur et maître. Véronique fronça les sourcils alors que les hommes s’approchaient avec une joie non dissimulée. Ils la menèrent le long de plusieurs couloirs, montèrent quelques escaliers pour finir par la laisser seule devant une porte où ils avaient frappé. Pendant tout le trajet, ils l’avaient matée mais ne l’avaient jamais touchée. Véronique n’avait même pas essayé de cacher son corps, sachant cela totalement vain. Elle ne voulait pas montrer le moindre signe de faiblesse. Ce fut donc le dos droit qu’elle attendit en silence dans le couloir devant la porte. Elle ne tenta même pas de se cacher lorsqu’un groupe de nobles passa et ils ne semblèrent pas vouloir se frotter à elle, sentant probablement qu’ils avaient de quoi s’y piquer. Finalement, après une assez longue attente, la porte s’ouvrit, dévoilant un homme qui lui fit signe d’entrer sans réellement la regarder. La porte ouvrait en fait sur une antichambre. L’homme frappa à une autre porte, au fond de la pièce. Une voix s’éleva de ...
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