Véronique
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
f,
fh,
grossexe,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
rasage,
Oral
fdanus,
fsodo,
sm,
historique,
fantastiqu,
... l’intérieur. Véronique ne comprit pas mais l’homme ouvrit la porte en grand et fit signe à la jeune femme d’entrer la première. Elle obtempéra et la porte se referma derrière elle, laissant le guide dehors. Véronique se trouvait dans une chambre sublime. Un grand lit à baldaquin se trouvait à sa droite. Des fenêtres ouvrant sur des balcons donnant sur un immense jardin apportaient une luminosité maximale en cette heure avancée de la matinée. Des commodes et des secrétaires étaient posés contre certains murs et des chaises trônaient çà et là. — Entre, jeune femme. N’aie pas peur. Une voix d’homme, douce mais ferme avait dit ces mots. Véronique ne sursauta pas mais se maudit de sa stupidité. Attirée par le mobilier luxueux, elle n’avait pas fait attention à vérifier qu’elle était seule. Elle s’avança, et, masqué derrière une des colonnes du lit, un homme se dévoila. Il était vêtu simplement d’une chemise en soie noire, de braies et de chausses sur lesquelles remontaient des bottes courtes. Il ne portait ni insigne, ni tabard, ni bijou, ni couronne. Son regard noisette la déshabillait des yeux, pour autant que cela fut possible alors qu’elle ne portait aucun vêtement. Il semblait réellement surpris. Probablement la contenance de la jeune femme le désorientait-il car Véronique gardait la tête haute, les bras le long du corps, ne cherchant absolument pas à se dérober à son regard. Dans ses yeux qu’elle ne quittait pas, elle lut un étonnement certain. Encore un qui ne comprenait ...
... pas comment elle pouvait encore être pure. Finalement, le visage du noble redevint vide de sentiment. De sa ceinture, il décrocha une bourse. Il l’ouvrit, faisant tomber dans sa main dix petites pièces jaunes, qu’il remit ensuite en place. — Tu es venue pour cela, il me semble, dit-il. Il la regardait dans les yeux, son regard se faisant de plus en plus ferme, mais Véronique ne comptait pas perdre ce duel. Elle hocha la tête sans le lâcher des yeux. Le regard du noble se fit de plus en plus sombre. Visiblement, cela prenait une tournure qui lui déplaisait. — Tu as dû faire un long chemin pour venir les chercher.— En effet. Maintenant que j’ai passé les épreuves de l’autre folle, j’apprécierai de repartir assez vite, alors vous seriez assez aimable de me donner cet argent, qu’on en finisse rapidement. Le noble lui envoya un regard noir, semblant ne pas apprécier du tout la façon dont elle s’adressait à lui. — Tu crois peut-être que je vais te le donner comme ça ? Et pourquoi donc ?— Parce que vous avez annoncé que toute femme pure venant au château recevrait cette récompense, alors à moins de n’avoir ni honneur ni fierté, vous me devez dix pièces d’or. Le regard du noble changea. De rageur, il se fit neutre pour devenir légèrement souriant mais pas suffisamment pour que Véronique soit certaine de ce fait. Apparemment, la situation, finalement, lui plaisait. — Ce n’est pas ce que j’ai annoncé. Vous avez mal écouté le texte.— Je ne l’ai pas entendu. Un paysan me l’a rapporté, ...