1. Ma colocataire (10)


    Datte: 16/03/2018, Catégories: Lesbienne

    ... du garçon, presque fermés, et ses narines qui se dilataient à chaque inspiration. La cadence s’accélérait en phase avec son souffle. — J’imaginais sa main serrée sur son pénis, dit Clarisse, de plus en plus excitée à mesure qu’elle revivait ses fantasmes, le gland qui apparaissait à chaque aller et retour, son méat d’où perlait du liquide séminal, et je me caressais en le regardant. « Mes culottes te plaisent donc tant que ça ? » lui ai-je dit d’une voix douce. Il se retourna brutalement, le sexe à la main, pâlit affreusement, et son érection disparut instantanément. Des mots incohérents sortaient de sa bouche. Je l’ai rassuré : « Ne t’inquiète pas, je me sens honorée qu’un beau garçon comme toi s’intéresse à moi. » Clarisse, qui ne voulait pas être une proie trop facile, était restée sans bouger, mais quand même offerte au regard du garçon. Très gauche, il fit un pas vers elle, la main tendue. — Ce sont des moments inoubliables, les filles, dit-elle, émue. Comme une gamine, j’ai senti mon cœur cogner dans ma poitrine. J’ai ouvert les bras, il est tombé à genoux, s’est courbé jusqu’à ce que son visage repose sur mes cuisses. « Pardonnez-moi, vous êtes si belle... » Je lui ai caressé la tête. C’était gagné. Clarisse a marqué un long silence que nous avons respecté. Puis elle a repris le fil de son récit : Elle avait écarté les cuisses pour lui suggérer de faire quelque chose, mais lui n’a pas bougé ; il était hypnotisé par ce qu’il voyait. Clarisse fixa son membre qui ...
    ... sortait la tête par l’ouverture de la braguette et à son tour, se mit à genoux. Elle lui déboutonna son pantalon, puis le baissa avec le slip. Le garçon se laissait faire. — Son pénis dressé était congestionné tant il était excité, nous dit-elle, le gland tournait au violet. Il était au bord de la jouissance, alors que je ne l’avais pas encore touché. Quand j’ai pris son gland dans ma bouche, puis pointé ma langue dans son méat, le garçon s’est mis à trembler comme une feuille, essayant de se retenir. Son sexe était fin, mais de bonnes proportions. Je n’ai pas pu l’absorber en entier : le sperme a jailli dans mon palais. C’était délicieux ! — Il a dû éprouver la honte de sa vie, dis-je. — Il ne savait pas ce que c’était qu’une fellation, mais il a compris que je ne lui voulais que du bien et il s’est enfin laissé aller. Après l’avoir complètement déshabillé, comme un enfant, Clarisse lui a fait signe d’entrer dans la baignoire. Elle est restée à côté de lui tout le temps que son corps trempait dans l’eau chaude, et ils ont parlé. — J’ai eu confirmation de tout ce que j’avais supposé, dit-elle. En rougissant, il m’a confessé tout ce qu’il faisait – en cachette, croyait-il – pour me surprendre au lit avec Pierre-André, ou pour avoir accès à ma lingerie. Clarisse, je l’ai dit, était une belle femme, et combien séduisante à mes yeux. À quarante ans passés, elle doutait portant de ses capacités de séduction, et cette aventure avec ce jeune homme, qui avait été son élève, l’avait ...
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