1. Ma colocataire (10)


    Datte: 16/03/2018, Catégories: Lesbienne

    ... bouleversée. Elle a elle-même séché son protégé, puis lui a suggéré de s’occuper d’elle à son tour. « Tu es puceau », lui demanda-t-elle, voyant qu’il la fixait d’un regard interrogateur. Il avait hoché la tête, gêné. « Alors, il faut y remédier. » Initier un de ses élèves : un vieux fantasme que Clarisse, au comble de l’émotion, allait réaliser. Elle le poussa vers sa chambre en le faisant avancer devant elle, les yeux fixés sur les fesses musclées du garçon. Là, elle le bouscula sur le lit et prit le temps de le contempler. — Qu’il était attirant, ce jeune mâle, couché sur mon édredon, les mains croisées derrière la tête ! Clarisse revivait si intensément ce souvenir que pendant un court laps de temps, elle en avait oublié notre présence. Quand elle fut revenue parmi nous, elle reprit le récit de cette initiation : Elle s’était mise à califourchon sur Joseph en lui disant : « Lèche-moi le sexe, tu vas voir, c’est encore meilleur que mes culottes. » Sa chatte était trempée. La prenant par les fesses pour l’attirer sur sa bouche, Joseph l’explora de sa langue pendant un bon moment, puis comme il reprenait son souffle, Clarisse en profita pour se masturber sur son visage. Elle se cambrait pour que sa vulve passe successivement sur le menton, la bouche et le nez du garçon. Ça lui faisait une décharge électrique chaque fois que son clitoris frottait sur son visage. L’orgasme est venu très vite ; elle a crié ; sa mouille a coulé sur le visage de Joseph. Elle a reculé ensuite, et ...
    ... s’empalant sur le sexe du garçon, elle l’a dépucelé. Lui la regardait se démener sur son membre, et de plus en plus excité, il a commencé à participer au coït en donnant des coups de reins. — Il s’est tendu soudain, dit Clarisse, et il a éjaculé sans un cri, en même temps que je jouissais. Puis je me suis écroulée sur son torse. Ah, c’était bon, je peux vous l’assurer ! Clarisse marqua une nouvelle pause. En nous faisant cette confession, dont la charge érotique était puissante, elle nous préparait à la soirée de vendredi. Nous échangeâmes un regard, Magalie et moi. Quand Pierre-André est rentré, encore plus tard que prévu, Clarisse, aidée de Joseph, avait tout remis en ordre dans l’appartement. Le jeune homme, nous dit-elle, était gêné à l’idée de se retrouver en présence de Pierre-André. On le serait à moins. Il trouva donc un prétexte pour s’éclipser. Une fois au lit, Clarisse a raconté à son mari tout ce qui s’était passé entre Joseph et elle pendant qu’ils étaient en tête à tête. — Mon mari m’interrompait parfois pour revenir sur un détail, dit-elle, et il bandait tant il était excité. À la fin, il m’a dit qu’on n’avait plus qu’à passer à l’étape suivante, c’est-à-dire à inviter Joseph dans notre lit. Le lendemain, Joseph était rentré en rasant les murs et avait filé dans sa chambre, sans dire un mot. — Sa réaction était compréhensible, dit Clarisse. Mais le surlendemain, il m’a fait l’amour, en prenant pour la première fois l’initiative. J’ai constaté que sa technique ...
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