Ma colocataire (10)
Datte: 16/03/2018,
Catégories:
Lesbienne
... s’améliorait. Le troisième jour, je l’ai cueilli à froid à son arrivée dans l’appartement, et je lui ai dit que Pierre-André était au courant de notre « liaison ». Il a blêmi, a parlé de partir définitivement. Je l’ai arrêté : « Ne t’affole pas. Pierre-André est d’accord à condition qu’il soit là. » Les filles, vous auriez vu sa tête ! À ce moment, mon mari est entré, une bouteille de champagne à la main. J’ai sorti les coupes, on s’est installés au salon, et Pierre-André a porté un toast : « À nos amours ! » Le champagne nous mit en forme. Clarisse se tut, nous regarda. Nul doute qu’elle voulait attiser notre curiosité et ménager ses effets. Elle reprit la parole pour nous rapporter ce qui s’est passé ensuite : À la demande de son mari, Clarisse entreprit de faire une fellation au garçon, après lui avoir tout retiré, T-shirt, Pierre-André et caleçon. Joseph faisait une drôle de tête, mais se laissait faire sans protester. Il leur exhiba un torse musclé, des jambes bien faites avec des mollets de cycliste. Pas un milligramme de graisse. — J’ai jeté un coup d’œil à Pierre-André, poursuivit Clarisse. Assis dans le canapé, son verre à la main, il était prodigieusement intéressé par ce qu’il voyait. Quand le caleçon tomba à ses pieds, les époux s’aperçurent que le garçon avait très peu de poils, et que son sexe était désespérément flasque. Pour lui redonner de la vigueur, Clarisse le prit dans sa bouche. Elle n’a pas tardé à sentir que, sous sa langue, il s’éveillait. Elle a ...
... continué un moment sa fellation, puis s’est retirée pour laisser son mari admirer le résultat qu’elle avait obtenu. — Il était fasciné par ce membre en érection, dit-elle. Nous en étions au moment crucial : Joseph à poil devant nous, et Pierre-André en contemplation devant le corps de ce jeune homme. Clarisse reprit le membre dur dans sa main, se mit à l’agacer avec sa langue, la pointant dans le méat, sous le regard de son mari, ardent de convoitise. Au bout d’un moment, elle a fait signe à son époux de s’approcher. — Il n’a pas hésité longtemps, dit-elle. Il m’a regardée pour être sûr que c’était bien cela que je voulais, puis il s’est mis à, genoux à côté de moi. Je me suis écartée pour lui laisser la place. Joseph était reparti sur son petit nuage : le monde extérieur ne comptait plus pour lui. Clarisse, a alors présenté le sexe du jeune homme aux lèvres de son mari, lequel s’est mis à le sucer sans que le garçon ne manifeste la moindre réaction. — Ce fut alors mon tour, avoua Clarisse, d’être hypnotisée par ce pénis dressé, dur comme du bois, qui alternativement entrait dans la bouche de mon époux, puis en sortait. Quand je vis que les deux hommes étaient à bout, Joseph prêt à jouir et Pierre-André hors d’haleine, j’ai repris le pénis du garçon et je l’ai masturbé d’une main, accélérant la cadence, tandis que de l’autre, je pressais sur le cou de Pierre-André pour lui faire courber la tête. J’ai dirigé le membre vers la bouche – grande ouverte – de mon mari, Joseph a poussé ...