1. 15 juin - 21 juin


    Datte: 19/03/2018, Catégories: f, fh, fffh, hplusag, fplusag, Collègues / Travail jardin, noculotte, photofilm, Masturbation fgode, préservati, humour,

    ... qu’il tentait de fuir. Il n’a pas survécu. Je les prie de m’excuser et vais me rafraîchir un peu. L’eau froide me fait du bien. Quand je reviens j’ai retrouvé un peu de sérénité. Gwendoline, les yeux rougis, bredouille de nouvelles excuses. Je m’approche d’elle et lui caresse la joue : — Ne te désole pas. Il fallait bien que j’en parle un jour. Ce n’est pas le genre de secret que l’on doit enfouir et taire aux personnes que l’on aime. Tu m’en as donné l’occasion. C’est vrai, même si cela est douloureux, en avoir parlé m’a aussi délivré d’un fardeau. D’une certaine manière, je me sens plus léger. J’ajoute, pour essayer de détendre l’atmosphère : — Mais je note que tu as toujours le chic pour dénicher les photos. Préférant changer de sujet, je ramène ensuite la conversation sur ma thèse. Nous en discutons quelque peu. Gwendoline demande si elle peut l’emprunter pour la lire. À quoi je dis oui sans problème. L’heure tourne. Anne prétend rentrer chez elle. Je lui fais comprendre que j’aurais beaucoup de plaisir qu’elle reste, afin de pouvoir lui montrer combien mon lit est confortable. Bien qu’elle n’ait jamais mis en doute la qualité de ma literie, cet argument la convainc. Ses filles quant à elles ne manifestent pas la moindre intention de regagner leurs pénates. Elles partageront le canapé. Elles me demandent, avant d’aller procéder à leurs ablutions, de retirer ce que je leur ai introduit avant que nous passions à table. Je commence par Gwendoline qui a déjà retiré sa robe. ...
    ... Avant d’en venir au fait, je procède à quelques manipulations agrémentées de commentaires oiseux. — Il n’y a pas eu de problème de rejet (je bouge l’objet).— C’est bien resté en place (j’agite un peu plus).— Et pourtant ça glisse bien (et j’te touille dans la mouille..). Je décide de ne pas poursuivre ce petit jeu, d’autant que je ne pourrais le mener à son terme. Je défais le mousqueton. Ses chaînes glissent. Elle les retient. Je retire lentement l’ustensile de son logis, avec de petits retours. — Il ne faut pas créer trop brusquement un vide. Cela pourrait perturber le sujet. Quand l’engin est entièrement extrait, je le tends à celle qui l’accueillait avec tant d’abnégation en lui disant : — Et voilà. Extraction achevée. J’espère que ça a été moins pénible qu’une extraction dentaire.— L’extraction dentaire, on trouve toujours que ça dure trop, répond-elle avec un sourire ravageur.— Tu n’as pas lésiné sur le lubrifiant. N’oublie pas, comme toute bonne ouvrière, de nettoyer tes outils après usage. Elle salue en disant « Bien, chef ! » et se dirige vers la salle de bains. C’est au tour de Dominique de se faire déharnacher. Elle a droit peu ou prou au même traitement que sa sœur. Après que les filles aient libéré la salle de bains et se soient dit bonne nuit, Anne et moi investissons les lieux. Je lui retire rapidement son occupant, j’ai d’autres idées en tête. Malgré tout, je prends tout mon temps dans la salle de bains, pour la laisser un peu languir dans la chambre. J’en suis ...
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