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Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien (1)
Datte: 27/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... excitèrent un max. On était tous impatient de laisser nos queues éclater comme des arrosoirs. — Vos bourses doivent être gonflées à bloc à force de retenir tout ce jus pendant des jours. Mes pauvres salauds. Donnez-moi tout ! Je veux que vous vous vidiez entièrement jusqu’à vous racler le fond des couilles ! Je veux que mon corps entier devienne tout collant ! C’en fut trop. Je ne saurais dire lequel d’entre nous vint vraiment en premier, nous éjaculâmes tous plus ou moins en même temps. Je poussai un grognement guttural lorsque je sentis enfin mon foutre sortir de mes couilles pour grimper le long de ma tige. Ma queue explosa en copieux jets de foutre qui atterrit sur Julie. Nous lui donnâmes ce qu’elle voulait. Nous jouîmes abondamment et la recouvrîmes de sperme. Nous cherchâmes à viser pour lui en mettre le plus possible. Elle, elle avait fermé les yeux et sortit la langue pour nous accueillir en bonne petite salope soumise. On lui en mit sur le visage, les cheveux, les épaules et les seins. Je n’avais jamais jouis aussi fort, et surtout autant. Le flot ne s’arrêtait pas, et celui des autres non plus. — Raaah ! Salope ! Prends ! Prends ! — Aaah ! Ouiii ! Recouvrez-moi de foutre chaud ! C’est bon ! Donnez-tous à votre vide-couilles ! Ce que nous fîmes sans ménagement en hurlant notre plaisir. Nos sources finirent par tarir. Nous nous efforçâmes de se vider jusqu’à la dernier goutte. Nous continuâmes à nous branler pour s’assurer qu’il ne restait rien. Je laissai mes ...
... restes lui tomber sur le front en essorant ma queue. Elle continuait de pulser sans plus rien éjaculer. Mes bourses autrefois pleines étaient maintenant complètement vide. Je n’arrivais toujours pas à m’en remettre. C’était la plus bonne baise de toute ma vie, et je ne devais pas être le seul à penser ça. Un regard sur Julie me fit du mal à débander. Elle avait du foutre partout comme si un régiment lui était passé dessus. Quand elle comprit que la douche était finie, elle se nettoya les yeux avec un doigt, puis les rouvrit. Elle constata avec joie le massacre que nous avions fait. — Houlà, mes petits salauds, vous m’avez noyée de sperme. J’adore ! Elle porta son doigt en bouche en faisant un : — Hmm délicieux. Nous étions tous les trois en train de l’insulter de sale pute dans nos têtes. Une fois encore, je ne l’imaginais pas comme ça. Alors que nous étions repus, elle continua à nous exciter en faisant la salope. Elle joua avec notre sperme pour se l’étaler partout sur le corps. Elle en répandit sur ses seins et le ventre comme s’il s’agissait d’une crème hydratante qui lui faisait du bien. Elle ramassa aussi ce qui trainait sur son visage pour l’avaler, en prenant soin d’ouvrir un maximum la bouche pour nous le faire voir. Putain, si j’en avais été capable, peu importe qu’elle soit gluante ou pas, je l’aurais forcée à se mettre à quatre patte et je l’aurais enculée. Elle n’avait aucune limite. Aucun d’entre nous ne rata son petit manège. Lorsqu’elle eut fini, elle nettoya nos ...