Préambule
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
religion,
enceinte,
Oral
... laisser aller ; elle ne retint plus ses propres halètements quand elle vit l’autre main du prêtre qui avait quitté sa taille pour aller malaxer avec vigueur une braguette tendue à craquer. Alors elle s’affaissa presque sur le voltaire et s’abandonna en écartant les jambes. Ce fut alors l’irrémédiable montée du suprême plaisir, elle les yeux fermés, cuisses ouvertes, mais jupe toujours sagement baissée, lui s’astiquant au travers de son pantalon de clergyman tout en lui titillant le clitoris par-dessus tissu et dentelle. Elle laissa s’exprimer ses râles et ses soupirs, puis un long feulement lui vint tandis qu’elle frissonnait de tout son être ; cet orgasme fut le premier qu’elle ressentit depuis des mois, voire des années, provoqué par une main étrangère. Son mari ne l’avait jamais beaucoup honorée de caresses en dehors de coïts trop brefs et sans passion, et en plus depuis qu’elle était enceinte, il ne l’avait plus touchée. Aussi ce grand émoi sous les doigts – et seulement les doigts – qui plus est d’un homme sans grande ressource, lui fut-il comme un espace de bonheur inespéré. Quant à l’homme, il dut prendre son orgasme en entendant le râle suprême de sa pénitente et il eut une éjaculation qu’elle put juger abondante en remarquant, quand elle eut repris ses esprits quelques minutes plus tard, l’énorme tache d’humidité qui fonçait encore le tissu pourtant anthracite du pantalon du curé au niveau de la braguette, quand elle reprit un peu ses esprits… Ni l’un ni l’autre ne ...
... dirent mot, elle constatant avec honte que sa robe unie était tachée de sa propre mouille et qu’il lui faudrait rentrer chez elle en s’efforçant de cacher les traces coupables derrière son sac, lui pantelant, cherchant le moyen de sortir de cette situation plus qu’embarrassante… Ses études de casuistique et ses galons de jésuite lui suggérèrent « Ma fille, le Diable nous a pris en nous trompant avec la vie, agenouillons-nous pour demander pardon et prier », il lui prit la main et s’agenouilla à même le sol, dit quelques mots et lui fit réciter un pater. Elle s’en fut ensuite, mais ce jour-là, sans absolution ! Ce fut un déclic pour elle, elle comprit l’absurdité de ces simagrées soi-disant sacrées, les curés n’étaient que des hommes comme les autres, que des règles absurdes forçaient à se brimer, et qui ne pouvaient que parfois laisser s’exprimer leur penchant. Du jour au lendemain sa raison s’ouvrit, elle cessa de fréquenter l’Église et ses prêtres. Nuit torride pour elle et lui – II Elle (suite): De proche en proche sa perception de la sexualité évolua. Elle eut sa fille, en fut d’abord folle et ne s’occupait plus que d’elle, allant même jusqu’à repousser les rares approches de son mari. Elle reprit ses solitaires habitudes pendant que sa fille dormait, toujours bien sûr en cachette de son époux, qui d’ailleurs semblait n’avoir que sa carrière professionnelle comme passion. Elle allaita son « bout de chou » pendant 2 ans, et sans doute cette intimité l’apaisa-t-elle, ou tout ...