1. un chien qui s'ignore 8


    Datte: 06/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature,

    ... mes blessures et s’écoulait doucement par les grilles, dilué par les flots de salive qui avaient du couler du mors, toujours présent dans ma bouche. Je voulu l’enlever, mais rien que lever les bras à mon visage, me lança une décharge dans les épaules. Comment en étais-je arrivé là, en si peu de temps ? Piégé. Pas d’issue possible autre que cette porte condamnée. Un néon au plafond, quelques anneaux d’ancrage. Quelques uns au mur également. Le treuil électrique au dessus de moi, avec son câble métallique qui descendait jusqu’à moi. Dans le fond de la pièce des balais et produits de nettoyage, un point d’eau. Et puis face à moi, ce placard dans lequel elle avait récupéré ce fouet destructeur ! J’imaginais maintenant qu’il devait contenir bien d’autres engins de tortures. Une petite porte fermée dans le mur opposé m’intriguait de par sa hauteur très basse. La douleur et la fatigue provoquèrent à nouveau des tremblements de tout mon corps. Je réussis à m’assoir et regrouper doucement mes bras autour de mes jambes. Je restais dans cette position plusieurs heures me sembla t-il.Surpris, la porte s’ouvrit soudainement, sans que je j’entendis ma tortionnaire arriver. Instinctivement je me recroquevillais de terreur et baissais la tête entre mes genoux. Elle entra sans un mot et détacha mon collier du câble, qu’elle fit remonter jusqu’au treuil. Mon collier ainsi que le fouet et le mors furent rangés dans le placard. Elle en sortit une chaine.‘A 4 pattes’Malgré la douleur, je ...
    ... réagis promptement et attendis docilement. Elle vint derrière moi et je sentis qu’elle attachait la chaine à l’ancrage de ma cage de chasteté qui passait derrière mes couilles. D’un coup sec, elle tira dessus et m’entraina tant bien que mal à reculons vers le mur sur lequel elle fixa par un cadenas la chaine à un anneau scellé. Elle s’éloigna au fond de la pièce et commença à brancher un tuyau d’arrosage. Je la regardais à la dérobée, elle avait passé un ciré de pluie et des bottes en caoutchouc. Elle revint vers moi en tirant le tuyau. Elle m’aspergea violemment directement sur mon dos. Je criais de douleur en essayant de fuir. Mes couilles et mon sexe retenus par la chaine, me retinrent. Elle me donnait de coups de bottes dans les côtes pour que je tourne. Elle m’aspergeait comme une bagnole boueuse qu’on doit nettoyer, prenant plaisir à m’asperger le visage ou les couilles. Le sang coulait de mes blessures et finissait dans la grille, jusqu’a ce qu’il n’y en ait plus trace.Elle rangeait le tout et revint me détacher pour finir par m’entrainer avec ma laisse jusqu’à la fameuse petite porte. Il s’agissait en fait d’une sorte de niche pour chien dissimulée dans l’épaisseur du mur.‘Voila ta nouvelle maison, ça te plait j’espère’Devant mon appréhension à rentrer dans cette sorte de tunnel sombre de 80 cm de haut à peine, un coup de bottes au cul me fit hurler de douleur. J’avançais.‘Non, tournes toi et recules !’La niche était trop étroite pour je me retourne et je rentrais donc à ...
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