Elle, la femme de ma vie (2) - Histoires de Sexe

Elle, la femme de ma vie (2)

... des dieux pour ma déesse. Nous avons bu, dans un silence. Ma main libre était sur elle, se comportant comme un propriétaire, alors qu’elle n’était qu’un locataire temporaire. — Merci ma belle. — Merci à toi. Tu m’as donné beaucoup de plaisir et de jouissance ce soir. — J’étais inspiré. J’espère que ce n’est pas fini. — Non, mais je suis un peu fatiguée, dit-elle en riant. — On se repose un peu ? La bouteille finie, on s’est allongé, blotti l’un contre l’autre, jambes emmêlés, mains sur nos intimités. Le petit matin nous trouva dans la même position. J’avais retrouvé un peu de forme. On a refait l’amour, de manière plus classique, en prenant notre temps cette fois. Cela a duré longtemps. Plus tard… — Tu me fais confiance ? — Oui. J’ai pris un foulard noir et je lui ai bandé les yeux. Avec d’autres foulards, je l’ai attachée. Bras écartés. Jambes écartées, mais surtout relevées. Un coussin sous ses reins l’a ouverte un peu plus. Je me suis fait plaisir. J’ai étalé de la confiture de goyave sur sa chatte gluante avant de la lécher dans ses moindres recoins. Tous les plis et replis. Son clitoris, ses grandes lèvres, ses petites lèvres… L’intérieur du vagin… Une liqueur sucrée et acidulée entrait dans ma bouche. Ma cousine était ...

... bonne. Dans tous les sens du terme. Elle avait un bon goût. Je savais par avance que je ne me lasserais jamais. J’ai remis de la confiture, sur son anus. Et j’ai léché son conduit. Amoureusement. Je l’ai fait jouir avec ma langue. akcaxxgy J’avais beaucoup de craintes pour après. Finalement, tout s’est bien passé, ou presque. Très vite, on s’est rendu compte qu’on ne pouvait se passer l’un de l’autre. Elle a quitté son boulot et son appart pour venir s’installer avec sa fille chez moi au pays basque. Rien n’a été simple. Si sa fille est arrivée assez facilement à m’accepter comme l’homme de sa mère (elle ne m’avait jamais vraiment connu en tant que cousin de sa mère), ce ne fut pas le cas de nos familles. Au bout de quelques mois, mes parents sont finalement revenus à de meilleurs sentiments. Ce ne fut jamais le cas des siens. Et puis, un jour, elle m’annonça être enceinte. On allait fêter nos 36 ans. Ce n’était pas voulu. Mais je me suis rendu compte que, depuis nos retrouvailles, on avait toujours fait l’amour sans précaution. Dès le premier soir. Cela n’arrêta pas nos ébats sexuels car, grossesse aidant, ses hormones furent décuplées. Une petite fille naquit de notre amour. C’était il y a quatre ans. Notre amour dure toujours.